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7 réponses à “Aux femmes indépendantes”
A Paul et à tout les participants de ce blog, qui me pousse à réfléchir, Joyeux Noël, joyeuses fêtes de fin d’année et à l’année prochaine, avec le même esprit de communication et de partage des idées.
Oui, Bonnes fêtes de fin d’année, heureuse et paisible.
Vive 2009 avec de vrais morceaux de neuf pour la société!!!
Amitiés à tous.
Merci Paul! Je ne suis pas québéquois, mais avec Félix Leclerc, c’est tout comme. C’est un barde qui m’a beaucoup marqué. Il a bercé ma mémoire d’enfance, autant de moments de maturation, sans que je m’en rende vraiment compte. C’est un un « concitoyen » d’une autre dimension, comme si je l’avais toujours connu. Le retrouver ici est émouvant, un moment de joie et un peu plus.
Quant à George Brassens, j’ai eu le plaisir d’aller l’écouter et le voir où je vivais à l’époque, à Lyon, exactement au théâtre de Villeurbanne durant les années 60. c’est un Grand, un vrai aristocrate, un poète achevé, unique, il n’y a pas de mot pour le qualifier. Il a eu, en plus, la modestie de dire: « je veux bien accepter le prix de la chanson française, mais qu’on l’attribue d’abord à Charles Trenet ». Chapeau!
Heureusement, il n’y a pas que les poètes qui souffrent sous les femmes indépendantes.
Ha ha, mon gaillard ! Le bonheur n’ayant pas de prix, vous devriez quand même changer de sommier…
Sinon merci pour les voeux exprimés ici, et c’est avec grand plaisir que je vous réitère les miens.
Vous irez tous au paradis !
ou quand l’homme se rend compte qu’il n’est qu’un petit garçon…
Il n’y a pas eu que « des tricoteuses » mais les livres d’histoire ont des lacunes révélatrices.
Na ! etc …
Marie de Gournay (née Marie Le Jars) (née le 6 octobre 1565 à Paris – morte le 13 juillet 1645 à Paris) était une femme de lettres française des XVIe et XVIIe siècles, et fut la « fille d’alliance » de Michel de Montaigne, dont elle publia en 1595 la troisième édition des Essais, augmentée de toutes les corrections manuscrites du philosophe.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_de_Gournay
La marquise de Rambouillet, née Catherine de Vivonne à Rome en 1588 et décédée à Paris le 2 décembre 1665, était une femme d’exception qui tint au XVIIe siècle le premier salon parisien célèbre dans son hôtel (l’hôtel de Rambouillet, situé à Paris à l’emplacement actuel du Palais-Royal).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_de_Rambouillet
Jeanne Hébuterne (6 avril 1898 à Meaux, Seine-et-Marne, France – 25 janvier 1920 à Paris) est une peintre française.
Elle est surtout connue, de nos jours, pour sa relation amoureuse avec Amedeo Modigliani.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_H%C3%A9buterne
Première interprète des œuvres de son mari, elle fait connaître et apprécier sa musique, dont selon ce dernier, elle est alors la seule à bien en comprendre les délicatesses
http://fr.wikipedia.org/wiki/Clara_Schumann
Élevée dans l’atmosphère cultivée de l’intelligentsia berlinoise, elle reçoit une excellente éducation de sa mère, puis étudie le piano et la composition. Très tôt, comme son frère, elle manifeste des dons musicaux. Son père et ensuite son frère l’empêcheront néanmoins de se consacrer totalement à sa première passion, la musique. Ainsi Abraham Mendelssohn écrivit à sa fille le 16 juillet 1820 : « La musique sera peut-être pour lui (Felix) une profession mais pour toi elle ne peut et ne doit être qu’un agrément. »
Elle épouse en 1829 le peintre Hensel, dont elle aura un fils, Sebastian. À partir de 1843, elle supervise les concerts du dimanche matin à l’Elternhaus de Berlin. Elle meurt d’une crise d’apoplexie à l’âge de 42 ans.
Fanny Hensel-Mendelssohn
Elle fait partie des rares femmes compositrices de renom au XIXe siècle, avec Clara Schumann et Louise Farrenc. Il est à noter que, d’après la pianiste Françoise Tillard, six des Lieder de jeunesse de son frère Felix (dont Sehnsucht – Nostalgie – et Italien) sont d’elle (Felix le reconnaissait lui-même)1.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fanny_Mendelssohn
Marguerite Hessein, dame de la Sablière,
…et par l’hospitalité qu’elle donna en 1672, à la mort de la duchesse d’Orléans et jusqu’à sa propre mort, à La Fontaine. Celui-ci lui voue une véritable adoration, et lui écrira une fable, le discours à Madame de La Sablière…
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_Hessein_de_La_Sabli%C3%A8re
Gertrude Stein, née le 3 février 1874 à Allegheny en Pennsylvanie et morte le 27 juillet 1946 à Neuilly-sur-Seine près de Paris, est une poétesse, écrivaine, dramaturge et féministe américaine. Elle passa la majeure partie de sa vie en France et fut un catalyseur dans le développement de la littérature moderne et de l’art moderne. Par sa collection personnelle et par ses livres, elle contribua à la diffusion du cubisme et plus particulièrement de l’œuvre de Picasso, de Matisse et de Cézanne.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gertrude_Stein
Juliette ou Julie Récamier
Amie de Madame de Staël et après l’Empire, de Chateaubriand, elle fut une figure clé de l’opposition au régime de Napoléon. Son salon eut un rôle non négligeable dans la vie politique et intellectuelle de l’époque. Elle finit par être éloignée de Paris par la police impériale.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Juliette_R%C3%A9camier
Marie Gouze, dite Marie-Olympe de Gouges
Son fils, l’adjudant général Aubry de Gouges, par crainte d’être inquiété, la renia publiquement dans une « profession de foi civique »13. Le procureur de la Commune de Paris, Pierre-Gaspard Chaumette, applaudissant à l’exécution de plusieurs femmes et fustigeant leur mémoire, évoque cette « virago, la femme-homme, l’impudente Olympe de Gouges qui la première institua des sociétés de femmes, abandonna les soins de son ménage, voulut politiquer et commit des crimes […] Tous ces êtres immoraux ont été anéantis sous le fer vengeur des lois. Et vous14 voudriez les imiter ? Non ! Vous sentirez que vous ne serez vraiment intéressantes et dignes d’estime que lorsque vous serez ce que la nature a voulu que vous fussiez. Nous voulons que les femmes soient respectées, c’est pourquoi nous les forcerons à se respecter elles-mêmes. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Olympe_de_Gouges
Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt1, de son vrai nom Anne-Josèphe Terwagne, née le 13 août 1762 à Marcourt dans l’ancienne principauté de Liège et morte le 23 juin 1817 à l’hôpital de la Salpêtrière de Paris, est une femme politique française, héroïne de la Révolution.
Théroigne, plus connue à Paris sous le nom de « la Belle Liégeoise », de « l’Amazone rouge » ou de « la furie de la Gironde », tient un salon rue du Boulay, où on retrouve Siéyès, Camille Desmoulins, Pétion, Brissot, Fabre d’Églantine, Romme, admirateur et amoureux transi qu’elle affectionne particulièrement, et d’autres encore.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne-Jos%C3%A8phe_Th%C3%A9roigne_de_M%C3%A9ricourt