Le musée des horreurs de la finance, un compte rendu enthousiaste de La crise par Gérard Moatti.
Faut arrêter de chipoter et de se poser ce type de question mais se saisir de cet outil au plus…
*Godot est mort !*
Le musée des horreurs de la finance, un compte rendu enthousiaste de La crise par Gérard Moatti.
Faut arrêter de chipoter et de se poser ce type de question mais se saisir de cet outil au plus…
Excellent !
Subversion de surveillance Auto-exfiltration Garde de buts Reclassement des courriers électroniques secrets Falsification d’alignement (instrumentale?) Mise en sac de sable…
@Pascal Sauf qu’une lampe LED de « 40W » sic consomme plutôt 4 W et que la comparaison alors est un peu…
Point du tout, Mango, je n’ai nulle crainte à votre égard. Cependant je relève que la majorité, pour ne pas…
A mon âge, je sais ce que c’est que d’avaler des pilules, merci !😂 Je trouve absolument extraordinaire ce qu’offre…
Certes mais en listant le froid et le chaud individuel maison + l’industrie et le commerce … il va falloir…
@Bruno GRALL La domination patriarcale ne relève pas de découvertes scientifiques, mais ce sont des recherches scientifiques dans le domaine…
L’intelligence collective fait peur aux milliardaires mais pas une AGI bien bridée pour assurer la perpétuation du capitalisme !
Le problème c’est que les « parents » de l’IA sont ultra minoritaire (0,0001% au pif) et que c’est toute la société…
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21 réponses à “Les Echos, jeudi 13 novembre”
Pour ceux qui savent prendre du recul, il y a une comédie sans doute hilarante ce soir sur France 2, la comédie s’appelle « A vous de juger » et les humoristes sont Christine Lagarde (ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi), Martine Aubry (député-maire de Lille (PS)), Philippe Dupont (président du groupe Banque Populaire), Olivier Besancenot (porte-parole de la LCR).
Reste à savoir lequel des 4 obtiendra la Palme d’Or.
Le musée des horreurs de la finance décrit dans LA CRISE de Paul Jorion procède de l’HORREUR ECONOMIQUE décrite il y a 12 ans par V.Forrester…cette dernière avait sans doute pêché par optimisme.
@ Chris
Ce sera plutôt un poker menteur.
Lagarde est une optimiste chronique, du moins le feint-elle;mais chacun sait qu’un pessimiste est un optimiste qui s’est renseigné.
Besancenot est un centriste (nouveau nom de m’extr.gauche) doublé sur sa gauche par les nouveaux « ultragauchistes » de la SCNF , à se demander s’il n’est pas une taupe UMP anti-Hamon?
Aubry? Connais pas.
Philippe Dupont ? Les briquets?
A Michaux pour information.
Au ГУМ (Glavniy Universalniy Magazin ou Goum), c’est la semaine des briquets. Les zombis adorent. Pour relancer l’économie, toute entreprise n’ouvrant que le dimanche et n’employant que des vieux (on dit seniors) pourra se constituer en sovkoze avec un capital minimum de 1 million de nouveaux euro-roubles.
Fin de la minute de détente.
L’ambiance est morbide. Investir est un verbe qui a disparu du vocabulaire. Il y aurait tellement à faire dans le domaine des nouvelles énergies et de la protection de l’environnement. Seulement la rentabilité se calcule sur le mois au mieux sur le trimestre. Comment changer de paradigme?
Petite remarque sur le crédit immobilier mentionné dans un autre post. Il me semble que les mensualités de remboursement sont une forme d’épargne.
Moatti voit une analyse en 3D ( au moins ) c’est bien vu et soulage le cartésien un peu désemparé dans la production des énoncés , habitué ( déjà ?) aux interrogations torpilles socratiques et pauliniennes (c’est l’année paulinienne…).
« La crise » a trouvé sa place depuis 10 jours , sur le chevet … et pour me distraire je suis allé par sauts et gambades sur le net et atterri sur le collège de philosophie et rencontré un autre belge Egidius Berns . Il préside un colloque sur l’argent comme dette , des processus autoréférentiels dans les marchés financiers etc
(L’argent
Jeu 22 Nov (9h-13h/14h45-18h30) Association Notre-Dame des Champs,
92 bis boulevard du Montparnasse, 75014 Paris
Ven 23 Nov (9h-13h15/15h-18h30) et Sam 24 Nov (9h-13h)
Musée Social, 5 rue Las Cases, 75007 Paris
Sous la responsabilité d’Egidius BERNS, Marcel DRACH et Yves DUROUX.
Colloque organisé en collaboration avec l’Institut Caisse des Dépôts pour la Recherche, et le
soutien de la Maison des Sciences de l’Homme.
C’est par la conjoncture et les interrogations qui en motivent l’initiative que s’annonce un
colloque. De quel moment et de quelle question procède celui proposé ici sous l’enseigne de
l’argent ?
Moment
Trois circonstances le définissent, mettant chacune en cause (ou accentuant) un caractère
spécifique de l’argent.
1/ La création d’un espace monétaire nouveau. Non sans faire écho au Solidus, le sou d’or de
l’empire romain, l’Euro a pour visée, en premier lieu, de consolider le comput économique sur
un territoire unifiant plusieurs aires monétaires nationales ; en second lieu, de se substituer sur
ce territoire aux instruments de paiement antérieurement en vigueur et de prendre rang parmi les
principaux moyens de règlements internationaux.
2/ L’intensification de l’excitation réciproque entre argent et innovation, à quoi donne lieu le
régime de croissance dit de la « Nouvelle Économie ». Côté offre, cet enfièvrement prend la
figure du capital-risque ; côté demande, il revêt l’aspect d’une capture à visée exhaustive des
modes de vie et de sociabilité par les produits « TMT » (Technologies-Média-
Télécommunications), et plus généralement par les biens que génère le cycle argent/innovation.
3/ L’expansion, au cours des vingt dernières années, de la circulation financière, du fait, d’une
part de la relève, par les marchés de capitaux, de l’économie d’endettement, d’autre part de la
libération et de l’essor des flux financiers internationaux.
Question
Mobilisant ses fonctions d’instrument de mesure et de paiement, affolant son pouvoir
d’induction chrématistique, isolant dans la spéculation sa nature de simulacre, ce moment nous
paraît suggérer la question autour de laquelle susciter aujourd’hui un colloque sur l’argent : qu’en
est-il de la constitution et du fonctionnement symboliques de l’argent ? Qu’en est-il, en d’autres
termes, de l’être symbolique de l’argent ?
Interrogation formulée depuis la philosophie et l’anthropologie, à partir aussi bien de la
linguistique et de la psychanalyse, à propos d’un objet éminemment économique, certes, mais
qui n’en finit pas, par ses paradoxes et ses défis à la rationalité, de décontenancer les économistes
et de brouiller les frontières de leur territoire.
Et c’est bien le constat que l’argent est le point où s’articulent de la façon la plus critique (avec
des effets, donc, de crise et de vérité) la rationalité et l’irrationalité des pratiques économiques,
qui soutient notre intention de soumettre son être symbolique au questionnement multiple et si
possible déconcertant d’un colloque. Car c’est peut-être en tant que signe que l’argent est à même
de rendre compte tant de la raison que de la déraison qui le fondent et qu’il engendre. Plusieurs
thèmes pourraient, à cet égard, être abordés.
Thèmes
• La croyance : qu’il s’agisse de la place du religieux dans l’invention de l’argent, du rôle de
l’Émetteur et de la fonction de gage dans le crédit accordé à un instrument de paiement (la
défiance dont pâtit la monnaie européenne pourrait être analysée selon cette perspective), des
processus autoréférentiels en jeu dans la morphologie non gaussienne des marchés financiers,
l’argent met en jeu tout un pan d’irrationalité qui vérifie la formule de Montaigne : « Nostre
ame ne branle qu’à crédit », et dont il conviendrait d’apprécier l’articulation avec sa consistance
symbolique.
• La dette : reprendre ce qui, dans la démarche de l’anthropologie structurale et de la
psychanalyse, s’est formulé autour de la fonction symbolique – ou du symbolique –, de
l’Intervention, de l’Autre, de la réciprocité, du renoncement, afin d’envisager l’argent (considéré
habituellement comme une créance) comme une institution de la dette.
• La mesure : c’est en tant que signe, notation numérique, que l’argent introduit un étalonnage et
donc une raison dans l’échange. Cette mesure doit être entendue, comme le veut Aristote, aux
deux sens conjoints impliqués par la mesótès – justice et justesse. Le colloque offrirait
l’occasion de réexaminer les trois théories classiques touchant la fonction de signe de valeur de
l’argent. Légisigne, pour étiqueter la thèse d’Aristote d’un terme forgé par Pierce ; forme,
concept phénoménologique au moyen duquel Marx s’efforce de réduire les qualités à la quantité
d’une manière non galiléenne ; montage expérimental de mesure mathématique recourant à un
numéraire, chez Walras.
• L’équivalent général : mais c’est aussi en tant que signifiant, cette fois non de valeur mais de
la totalité des valeurs d’usage, que l’argent subvertit la mesure. Il provoque l’affolement des
besoins en leur ouvrant l’espace infini de la variation ; il dérègle le rapport au temps en en
faisant l’économie. De là cette capacité redoutable de corruption dont Aristote et Platon, témoins
de la floraison d’un capitalisme marchand dans le monde égéen, aperçurent la menace pour la
tempérance exigée par la pérennité de l’oikos et de la cité. Outre celui de la corruption, les
motifs de l’universel et de la délimitation de l’espace public (qu’illustre en particulier la
question, décisive pour l’avenir de l’Euro, du degré d’indépendance de la Banque Centrale
Européenne vis-à-vis du pouvoir politique) vaudraient d’être débattus dans le colloque.
• La finance : à cet espace d’irrationalité que déplie l’excitation chrématistique induite par
l’existence d’un équivalent général, se relie et se superpose celui que promeut la finance
spéculative. Ce serait sans doute en ce lieu que l’argent prendrait sa forme la plus épurée. Car, la
tension du désir, fixée sur le seul signifiant de la différence quantitative enregistrée par les gains
et les pertes, y tenterait un passage au-delà de la déception toujours résurgente des biens. D’où
ces questions : en quoi cette tentative mérite-t-elle d’être qualifiée de spéculative ? En quoi un
impossible inhérent aux biens en est-il la cause ? À quel titre un signe, c’est-à-dire un
simulacre, peut-il prétendre fixer un désir spéculant sur un au-delà des biens ?
Jeudi 22 novembre
Matin : CROYANCE-DETTE-AUTRE
9 h : Accueil des participants
9h30 : Ouverture du colloque
10 h : Début du colloque
10h-10h45 : Marcel Drach (Paris 9 et CIPh) : L’argent ou le simulacre maintenu
10h45-11h30 : André Orléan (CEPREMAP) : Une monnaie autoréférentielle est-elle possible ?
11h45-12h30 : Christian Arnsperger (FNRS, Bruxelles) : L’inestimable valeur de l’Autre :
argent, altérité et socialité
12h30-13h : Paul-Laurent Assoun (Paris 7) : L’argent et ses symptômes : l’argent à l’épreuve de
la psychanalyse
Après-midi : UNIVERSEL-MESURE
14h45-15h30 : Étienne Balibar (Paris 10) : L’argent : un faux universel ?
15h30-16h15 : Arnaud Berthoud (USTL, Lille) : Monnaie et mesure chez Aristote
16h15-17h : Antoine Rebeyrol (Paris 9) : Walras : « le franc est le nom d’une chose qui
n’existe pas »
17h15-18h : Jean-Joseph Goux (Rice University, USA) : Marx et Walras : un déplacement
éthique
18h-18h30 : Discussion générale
Vendredi 23 novembre
Matin : SPÉCULATION-CORRUPTION
9 h : Accueil des participants
9h45-10h30 : Pierre Bruno (Paris 8) : Plus-value et plus-de-jouir
10h30-11h15 : Christian Walter (Pricewaterhouse Cooper ) : La spéculation dans un monde non
gaussien
11h30-12h : Ismaël Moya (EHESS) : Argent, dette et don au féminin à Dakar
12h-12h30 : Marie Mauzé (LAS, Collège de France) : D’une forme de monétarisation du
potlatch
12h30-13h15 : Jean Cartier-Bresson (Université de Reims) : Globalisation, gouvernance et
corruption
Après-midi : AUTOUR DES ÉCRITS DE JACQUES DERRIDA SUR L’ARGENT
15h-18h30 : Table ronde présidée par Egidius Berns, avec Jacques Derrida,
Simon Critchley (CIPh), Marcel Drach, Jean-Joseph Goux, Christian Arnsperger
Samedi 24 novembre
Matin : PHILOSOPHIE DE L’EURO
9 h : Accueil des participants
9h30-11h : Table ronde sur l’Euro introduite par Michel Aglietta (Paris 10 et CEPII)
avec : Egidius Berns : Qu’en est-il de la politique si l’Euro est le cas ?
Jean-Michel Servet (Lyon 2) : Promesses et angoisses d’une transition monétaire
Denis Guenoun (Paris 4) : Les deux faces de l’Euro
11h-12h30 : Discussion générale 12h30-13h : Conclusion du colloque
Ce colloque se tenait en novembre 2001 …
Nouveau canular des Yes Men : 1 200 000 exemplaires d’une fausse édition du New-York Times distribués
jeudi 13 novembre 2008, par jesusparis
Source de l’image :
http://laughingsquid.com/the-yes-me…
Avant même la passassion des pouvoirs entre l’administration Bush et celle qui doit lui succéder, conduite par Obama, le New-York Times de ce jour annonce la fin de la guerre en Irak… dans une édition datée du 4 juillet 2009.
Ce matin dans la ville de New-York, une équipe de volontaires a distribué une fausse édition du New-York Times, datée du 4 juillet 2009 [1], annonçant la fin de la guerre en Irak.
Les Yes Men, connus pour leurs canulars visant à démasquer les puissants de ce monde [2], avaient annoncé qu’ils préparaient « quelque chose » pour avant l’élection présidentielle américaine.
http://www.hns-info.net/spip.php?ar…
Canular dans la canular ou simple contrainte logistique, cela c’est passé cette nuit. Les volontaires pour la distribution ont été ralliés par l’intermédiaire du site
http://becausewewantit.org/.
Ils ont reçu le courriel suivant :
Ce soir et, particulièrement demain matin (mercredi) une année de travail : des douzaines de collaborateurs impliqués, voici le plan :
http://gawker.com/5084164/fake-new-…
Des lieux de rendez-vous suivent qui doivent être confirmés par une prochaine alerte.
Le NY Times a, semble t-il bien pris la chose. [3] Il commence en disant que malheureusement la guerre en Irak n’est pas finie ; puis parle de la distribution autour des grandes stations de métro. Le faux journal de 14 pages était si bien fait que les gens n’y ont vu que du feu. Il a été tiré à 1,2 millions d’exemplaires sur 6 presses.
Comme le font généralement les Yes Men, ce canular est accompagné d’un faux site internet, miroir de celui du New York Times [4] où l’on trouve le faux journal en ligne.
Des distributions, par des milliers de volontaires, ont eu lieu à Los Angeles, San Francisco, Chicago, Philadelphie et Washington dans le but de rappeler à Obama ses promesses de campagne.
Alex S. Jones, historien du Times a déclaré : « si vous en avez un exemplaire, gardez le, il va devenir collector. C’est un gigantesque compliment adressé au Times. »
Pour l’instant (7H30 du matin heure de Paris), on ne trouve sur les sites de vente aux enchères en ligne que des exemplaires du NY Times relatant la victoire d’Obama. Parions que celui des Yes Men s’y trouvera bientôt … mais cela peut aussi être prétexte à un nouveau hoax.
Gachet, hns-info
Plus d’infos sur les Yes Men en cliquant sur le tag hoax.
Notes
[1] Date de la fête nationale des Etats-Unis
[2] Ils ont par exemple piégé Exxon, un représentant de l’UMP lors de la dernière élection présidentielle française
[3] http://cityroom.blogs.nytimes.com/2…
[4] http://www.nytimes-se.com/
http://www.hns-info.net/spip.php?article16109
@ Maquis 29
Effectivement:
« Il me semble que les mensualités de remboursement sont une forme d’épargne. »
A condition que ce soit à taux fixe.
Mais le raisonnement est surtout bon en cas de crise totale…grosse grosse.
Moratoire.
Maintien dans les lieux des débiteurs presque propriétaires et suspension des dettes pour une durée indéterminée.
Dans ce cas extrême restera à se nourrir et à repousser ceux qui n’ont même pas de toit…
Je plaisante.
Euh?
Le livre de Paul Jorion est une oeuvre d’interet public.A la rubrique des horreurs , il faut mettre un premier ministre belge bien conseillé de ne pas mettre ses économies chez Fortis.Il a avoué disposer d’un compte chez Citibank ou il a déposé 20000 Euros qui se sont réduits à rien.L’argent a été investi dans des produits de la banque américaine Lehman Bros…………..Un ange passe, quand on sait que l’état de l’économie belge sert d’indicateur fiable à l’état de l’Europe .
Imaginez un portrait de Leterne à la manière de Magritte avec cette inscription : »Ceci n’est pas La Crise… ».Quelle belle couverture accrocheuse pour le livre de Paul Jorion.
@ Paul Jorion
Votre livre est intéressant et vous avez raison. Mais à la lecture des lignes de ce blog on est troublé par votre personnalité qui semble être favorable à une sorte de décroissance soft et générale mais également à une relation très ambigue vis à vis de l’argent. Vous semblez être en porte à faux. C’est la caractéristique des époques troublées, les modérés finissent dans le porte à faux. Mais attention, quand ça tourne mal vient le temps des décisions….
@Lesurhumain
Votre à-propos me ravis toujours ! Merci !
Jaquemin @ 13 novembre 13h07
Ce colloque de 2001 me fait penser à cette « pieuse » institution qu’est la – Semaine Sociale de France – très longtemps présidée par le non moins pieux (??) Michel Camdessus qui fut directeur du FMI de 1987 à 2000 avec les dégâts que l’on sait. Cette pieuse institution de la Semaine Sociale de France fonctionne depuis 1904. Elle est un lieu de rencontre parmis les plus huppés du Gotha en France politique, économique, scientifique, etc. Je ne peux l’affirmer, mais je crois que les droits de participation à la Semaine Sociale sont d’un montant qui élimine d’emblée la plupart des revenus courants, voire moyens et même plus… Un grand salon, de grandes mondanités? Où en sommes nous à présent?…
C’est encore hors-sujet, mais je ne comprends pas du tout la bourse : le Dow Jones était tombé tout à l’heure à 7 973 points, beaucoup plus bas que son « record » de fin octobre et là il est remonté au vert à 8 287 points. C’est hallucinant il y a des variations très rapides de grande ampleur..
Qu’est-ce qui a pu provoquer cette énorme remontée en une heure alors que les planchers les plus bas ont été largement franchis ?? Alors qu’il avait auparavant subit une chute tout aussi incroyable en une heure aussi ?
Incroyable ça monte de plus de 5 %, elle est remontée de plus de 700 points d’un coup ??? Pourquoi ?? La spéculation ?? Ou bien il y a une bonne nouvelle, mais laquelle ??
850 points en 4 heures !!! C’est le discours de Bush qui a fait ça ??? 8-o
@ Max
Dow : +6.71% à la clôture !!!
Au rayon bonne nouvelle aujourd’hui : Les managers des « Hedge Funds » face aux congrès peut-être ?
http://www.nytimes.com/2008/11/14/business/14hedge.html?hp
George Soros, chairman of Soros Fund Management LLC; James Simons, director of Renaissance Technologies LLC; John Alfred Paulson, president of Paulson & Co., Inc.; and Philip Falcone, senior managing director of Harbinger Capital Partners
L’euro, le pétrole, l’or ont aussi grimpé d’une manière spectaculaire en 4 heures
@ Lesurhumain,
Je ne pense pas que ce soit à cause de ça, mais dans la Tribune, on lit ceci :
« Ce rebond s’expliquerait en partie par un retour des acheteurs sur le marché actions après la fin de l’opération d’émissions de bons du Trésor américain. Ces actifs sont très recherchés en cette période d’incertitude économique, car considérés comme très sûrs. »
Apparemment, c’est purement technique et si je raisonne bien, ça n’annonce rien de bon pour la suite, car si le marché est baissier, ça va amplifier une éventuelle baisse en séance.
Enfin, je n’en sais rien, mais, pour le moment, je trouve ça mauvais.
Salut Max et le surhumain,
Rumeur (décision du G20) d’un gel de 6 mois des ventes à découvert incitant les « shorts » à racheter leur position.
Source : boursier.com
http://www.boursier.com/vals/US/index/wall-street-rebondit-de-plus-de-6-en-fin-de-seance-news-307960.htm
@ Max et ghostdog
De mon côté je faisais surtout une pointe d’humour éthique en plein cloaque hystérico-cacophonique !
Quoi qu’aujourd’hui l’aspect émotionnel et passionnel des réactions des opérateurs ne soit certainement pas à négliger si l’on veut essayer de donner une signification logique ou sensée à la volatilité extrême et totalement irrationnelle des marchés.
Plus sérieusement je pencherais plutôt pour cette rumeur du gel des ventes à découvert car aujourd’hui avec un petit mail bien placé à 13 heures le marché peut désormais grimper de 10% en 3 heures. On n’arrête plus le progrès de nos jours.
Et effectivement cela ne présage rien de rassurant pour l’avenir.
Coucou le surhumain !
Comme tu nous gratifis toujours dans tes commentaires d’une petite citation (ce que j’apprécie bcp), aujourd’hui je t’offre une vidéo qui m’a fait beaucoup rire et qui n’est pas sans lien avec ton dernier post…
http://www.dailymotion.com/video/k2Qp7Ukn6rTghoOAMN