Il paraît qu’on a encore eu de la chance : certains hébergeurs vous auraient perdu en plus tout votre passé ! En tout cas, avis aux amateurs, il y a un créneau à prendre : un hébergeur qui rétablit votre page-toile en moins de cinq jours !
Ce qui m’a le plus épaté, c’est que vous ne vous êtes pas découragés : vous étiez encore plus de 400 par jour à accéder à la misérable page provisoire ! Merci !
Je vais petit à petit reconstituer les morceaux qui manquent – merci aux volontaires ! Je vous demande juste un peu de patience : j’ai promis de déposer le manuscrit de « La crise des subprimes en 2007 » demain soir. Le livre paraîtra en mai ou juin, « La crise des subprimes en 2007 », en sera le sous–titre. On manque toujours d’un titre accrocheur. Alors, un petit concours : un exemplaire dédicacé à celui ou celle qui trouve un bon titre !
31 réponses à “Un bon titre pour « La crise des subprimes en 2007 »”
Titre du livre : « la chute de l’American dream » ou bien « Retour sur Terre pour le rêve américain ».
Une suggestion de titre : « End-Of-Line 2007 ».
Pour les explications, on peut consulter http://en.wikipedia.org/wiki/Newline .
Quelques extraits :
« In computing, a newline (also known as a line break or end-of-line / EOL character) is a special character or sequence of characters signifying the end of a line of text. The name comes from the fact that the next character after the newline will appear on a new line–that is, on the next line below the text immediately preceding the newline.
…
There is also some confusion as to whether newlines terminate or separate lines. If a newline is considered a separator, there will be no newline after the last line of a file.
…
Conversely, programs that expect newline to be used as a separator will interpret a final newline as starting a new (empty) line. »
Cela fait référence à vos travaux en IA, aux travaux de Pierre Legendre « De la société comme texte », aux mono-lines, etc.
Salutations,
Titus V
bonjour,
merci de bien vouloir consacrer quelques lignes a :
BEAR STEARNS PROTEST WEDNESDAY: THE PRESS RELEASE
HOMEOWNERS DEMONSTRATE AGAINST TAXPAYER BAILOUT OF WALL STREET WHILE THE GOVERNMENT ABANDONS AT-RISK HOMEOWNERS
(Jamaica Plain, MA) On Wednesday March 26th at 12:00 noon in front of JPMorgan Chase and Bear Stearns corporate offices at 47th and Park Avenue, hundreds of homeowners will take to the streets of New York. The demonstration organized by the Neighborhood Assistance Corporation of America (NACA) will protest the taxpayer bailout of Bear Stearns to benefit JPMorgan Chase and refusal of the government and Federal Reserve to provide real solutions for the millions of homeowners at risk of foreclosure.
The government and JPMorgan Chase can provide real solutions for homeowners at risk of foreclosure without a taxpayer bailout. NACA, along with the hundreds of thousands of homeowners we represent, demand that the following Homeowner Stabilization Initiative be implemented immediately for all owner-occupant homeowners:
1. Stop all the interest rate increases (i.e. resets);
2. Roll back the interest rate increases to the initial qualified rate;
3. Impose a moratorium on all foreclosures;
4. Require the mortgage servicers’ to pursue a loan restructure that reduces the interest rate and/or outstanding mortgage to a mortgage payment the homeowner can afford for the remaining term of the loan.
This solution relies on Main Street not Wall Street. It provides for the “stability of the financial system” as stated by Secretary Paulson. It is not a taxpayer bailout of the predators. By halting foreclosures and restructuring mortgages into conventional affordable terms, this initiative directly impacts the country’s financial stability since homes would not be abandoned, the tax base of cities and towns would not be eroded, and consumer confidence would be restored.
We will be in New York City this Wednesday March 26th to protest this corporate bailout and to assist homeowners. We are doing intakes from 9:00 a.m. to 12:00 noon at the Park Avenue Christian Church at 85th street and Park Avenue. At 12 noon we will protest the taxpayer bailout of these predators. We will be demanding assistance for homeowners with unaffordable mortgages. Your participation is crucial in getting the Government to stop the interest rate increases, stop the foreclosures, and make mortgages affordable. Please plan on taking part in this important action. Click on the Action Link here to participate or to have a NACA representative;
Neighborhood Assistance Corporation of America
http ://www.naca.com/index_main.jsp
Bonjour,
Que penseriez vous de:
« allo Houston ! nous avons un problème…. » sous titre « chroniques de la désintégration annoncée des subprimes »
au plaisir de vous lire
gibus
Bonjour,
Je prépare mon épreuve de BTS Banque en candidate libre (j’ai 47 ans et 20 ans d’expérience dans la banque que j’ai quittée pour l’immobilier en 2001) je viens de découvrir votre blog, je recherche toute information sur le mécanisme des subprime … grosse probabilité de sujet … l’épreuve est mi-mai aussi, je ne peux pas attendre la parution du livre.
Si vous avez le temps de m’aiguiller dans mes recherches en français ou en anglais, je vous en serais infiniment reconnaissante. Quant au titre « grandeur et décadence des marchés imobiliers » sous-titre « the American nightmare »
bien à vous,
sophie
Ce n’est pas vraiment un sous titre, mais je propose comme piste:
« la fin d’un reve: l’argent facile n’existe pas »
bonjour ,
Je ne ‘roule ‘ pas sur des sites ‘cliquants neufs et tape à l’oeil’ , même ici je me sens bien .. bravo Monsieur Jorion !!
Un titre ? Pourquoi pas ‘ L’immondialisation Casino ‘ ? Sous titre : » Mais en ce qui concerne la mise subprime .. on a déjà donné … »
Bonjour,
Je suppose que vous et votre éditeur êtes à la recherche d’un titre court et un peu clin d’oeil. Alors pourquoi pas » Le cauchemar américain ». C’est bien ça que vivent les américains et aussi, hélas, ce vers quoi ils entrainent le reste du monde, économiquement et militairement !
En tout cas, félicitations pour votre blog, découvert, en ce qui me concerne, il y a quelques mois via Contre Info
Ravi de vous revoir.
comme titre « fin de partie »
J’aime bien la référence littéraire de « Fin de partie » (Samuel Beckett). Je propose mes propres candidats sur ce même mode : « Servitude et grandeur financières » (merci à Alfred de Vigny) ou carrément « Misère de la finance » (merci à Marx – et à Proudhon !)
Un titre simple, en deux mots et à double sens comme : » Banque route «
American Casino ? En référence à Keynes. Mais c’est aussi le titre d’une série TV.
« Le coté face de la vie à crédit »
« La dette ne paie pas »
Subprime : L’oeil du cyclone
Ouragan sur la finance
La crise des subprimes en 2007
La dette mondialisée
Je trouve votre site internet ainsi que tous les articles que vous publiez du plus haut intérêt et de la plus haute objectivité. Bon, j’arrête les flatteries. En référence à un livre d’un certain Greenspan (le roi de la bulle), je propose comme titre : « Le temps des ambulances ».
Sans reflechir, j’ai note :
Pire qu’en 1929 ? / L’etau / L’asphyxie / Le declin US / L’etranglement /
US… a genou ? / USA la chute ? / L’aigle blesse ? / L’aigle perd son sang / La chute de l’aigle /
La fin de la suprematie americaine ? / La fin d’un reve ? / Les USA peuvent-ils se suicider ? / Wall Street : le gout de la cendre / La gueule de bois / Au bout de la route, le mur / Le Crash / Un naufrage ? / Chronique d’un Cancer financier / Wall Street hospitalise ? / SOS American Dream / La fin de l’arrogance ? / La fin d’un monde ? / Le Dieu argent a genoux / La richesse fantome / Une richesse pretee ? / Les larmes du banquier / etc. etc.
J’aimerais que vous nous expliquiez ce qui empeche pratiquement une nation comme les USA d’utiliser la planche a billets pour honorer ses dettes, combler les trous des banques, des assureurs, honorer meme les dettes de l’Americain moyen… pourquoi pas ?! , et payer… que sais-je encore ( les guerres… ) ?
Pourquoi plus de monnaie = inflation ? Est-ce toujours le cas ? Et peux-t-on esperer honorer une enorme dette sans voir celle-ci reduite progressivement par l’inflation justement… ?
Mes sentiments cordiaux.
Je propose « La cuisine des mangeurs d’hommes », allusion à l’oeuvre écrite jadis par un personnage qui n’aurait jamais imaginé que le seul système économique subsistant aprés la débacle du communisme puisse aujourd’hui mériter une telle appellation.
M’enfin… ça fait un mois que les « clubs d’investisseurs » fréquentés par d’honnêtes bourgeois perdus dans un coin sinistré du profond de la Wallonie éteinte réfléchissent à placer leur « bonne petite fortune » dans l’immobilier US !
Le titre devrait être: « la crise du subprime: déclencheur de la restauration de l’ordre hièrarchique »
En souvenir de la muette de 1830, je viens de relire les « mémoires et correspondances de Talleyrand »; les chancelleries s’affairent… pas de panique.
Gaston.
Paul nous demande un titre « accrocheur », car le sous-titre est déjà donné : « La crise des subprimes en 2007″. Le sous-titre est neutre, descriptif; il indique le sujet du livre. Il faut donc un titre accrocheur, qui donne envie de lire le livre. Un titre sur le registre affectif ? Utilisant une image forte… ?
La difficulté de trouver un titre qui fasse tilt vient du fait qu’en 2007, et encore aujourd’hui en ce début 2008, nous les hommes et les femmes de ce siècle qui lisons la presse et regardons la télévision, ressemblons plus, face à ce pavé que la réalité nous lance au visage, à des autruches mettant la tête dans le sable qu’a des êtres désireux de comprendre et de prendre nos responsabilités. La peur, collectivement, nous fait travestir la réalité. Ce que nous demandons avant tout au spécialiste, c’est d’être rassurés : » – Ah bon, ce n’était que ça ! Ouf, ça va passer. » Nous préférons le déni au courage. Quand vient le moment où la réalité nous rattrape, le moment où elle entre chez nous comme une intruse, nous recherchons aussitôt un coupable à designer à notre colère, à notre vertu soudainement retrouvée. Nous recherchons un homme (ou une organisation) qui puisse jouer le rôle de bouc-émissaire de nos petites démissions quotidiennes, de notre aveuglement passé et de notre participation semi-consciente à la « faute » collective que nous feignons seulement de découvrir. Nous nous offrons une bonne indignation. Une indignation qui nous lave de tout soupçon (à nos propres yeux d’abord), qui nous « honore » d’une virginité par comparaison, et qui, une fois de plus nous éloigne de toute… interrogation.
Cette interrogation courageuse à laquelle Paul Jorion nous invite tout au long de ses pages, au fil des mois qui passent, des mois étranges de cette année 2007 quelque peu surréaliste pour les raisons que je viens d’indiquer. Comprendre…, oui comprendre, mais certainement pas avec l’intention de clouer quelqu’un au pilori semble nous dire Paul (même si certains sont plus responsables que d’autres, évidemment) Non, comprendre simplement pour que nous… changions. Oui, chacun d’entre nous. Changions notre regard d’abord, puis changions notre organisation collective : « – Et maintenant que faisons-nous pour éviter ces naufrages ? »
Benoît, des rives du Mékong.
… SUBPRIME …
Le Sida du Dollar
« 1929-2008 » l’éternel retour du même…
La crise des subprimes en 2007
cordialement
Hervé (lu$$)
autres idées de titre :
L’ivresse d’oncle Picsoûl
Les financiers de l’Apocalypse
Les sorciers de la rapacité financière
Cupidité fille de Chaos
…
Hervé (karlu$$)
» Vers l’écoeurement ? «
Le danger avec un titre à connotation morale, c’est qu’il suggère un pamphlet. Le pamphlet est la forme littéraire de l’indignation, sport collectif des Français, leur péché mignon. Rien de plus facile que de s’indigner, reconnaissons-le. S’indigner de la turpitude de l’Autre, quelle farce en vérité ! Soulignant ainsi notre propre candeur ou innocence… ? Ou simplement notre irresponsabilité ? En tout cas, notre penchant national pour l’indignation (y aurait-il un plaisir ?) révèle un refus obstiné de nous considérer comme Participant d’un Collectif. Cela nous dispense de réfléchir à notre implication. Les bûchers, les anathèmes ont encore de beaux jours devant eux…
Sauf que voilà. Ce boniment-là n’est pas la tasse de thé de notre ami Paul Jorion. Ce n’est pas son travail. S’il y a quelque chose que Paul s’attelle à découvrir, et éventuellement à dénoncer, ce n’est pas le grand méchant loup, c’est le processus à l’œuvre dans la crise du capitalisme, l’enchaînement des causes et des effets, causes multiples, techniques, humaines, économiques, culturelles également, « anthropologiques ». Il s’interroge, il fouille : Quels réflexes, quelles visions du monde, quelles « évidences » – vous savez de ces idées qui ont un ancrage, une histoire, une appartenance ethnique (notre « ethnie » Occidentale) et qui, « à nos palais », ont la saveur de « vérités universelles » – amènent à nous aveugler collectivement ? Et peu importe notre niveau d’éducation, nous sommes ici dans le registre des croyances collectives. Ces idées, ces « vérités » nous ont aveuglés à un moment ou l’autre sur les conséquences de choix importants qui ont été faits, qui avaient l’apparence de l’inoffensif ou du moindre mal. Des choix qui pourtant, analysés avec rigueur dans leurs intrications, et sous un angle libèrent des préjugés habituels, nous seraient apparues alors dans leur déraison nue. A la lumière des événements récents, nous pouvons tenter de remonter ce fil. A ce stade, la désignation de boucs émissaires entraverait la recherche. Cela n’empêche pas chacun de nous de « bouillir » à un moment ou l’autre devant le gâchis. Il nous faut pourtant reconnaître que la tempérance du travail de Paul Jorion, nous le sentons bien, a quelque chose de rassurant, de sain, d’encourageant. Nous ne sommes pas là pour châtier, mais pour essayer de faire au mieux pour l’avenir. Le travail commence dans nos têtes.
Si ce travail sans colère est celui qui anime le livre de Paul, alors il faut bien que le titre en soit imprègne. Et donne envie de découvrir ce travail, sans pour autant décourager le lecteur (“- Ca va être fastidieux ! « ). Pas facile…
Benoit, Thaïlande.
PS – J’ai pensé à des titres sous la forme d’une apostrophe, par exemple une phrase lancée à l’emprunteur par le prêteur (au moins presque chacun de nous peut s’identifier à un emprunteur) :
» Laissez-moi vous prêter de l’argent, que je n’ai pas, vous ne paierez que les intérêts pendant trois ans. »
Ou une phrase qui révèle l’engrenage des intérêts qui augmentent quand justement vous ne parvenez déjà plus à payer… Et ensuite, ils augmentent aussi sur la carte de crédit !
Faudrait-il titrer… L’ABSURDE LOGIQUE ? … L’ENGRENAGE ? … LA DETTE FOLLE OU LE SUICIDE ASSISTE ? Et pour rire : » U.S.A… FAUT-IL EUTHANASIER ? »
Cordialement à tous.
La Grande Déprime en prime
La crise des sub-primes en 2007
– Le Capital décapité –
La crise des sub-primes en 2007
Réchauffement climatique
Refroidissement économique
La crise des sub-primes en 2007
Après la fête… la défaite
Rogue traders : et bien dansez maintenant !
Le moignon invisible du capitalisme
NB : il me faut le livre dédicacé, je viens de le vendre sur le marché gris à terme …
Je propose un titre sous la forme U S A, par exemple :
United Subprimes of America
peut-être cela vous inspirera un meilleur titre dans le même état d’esprit
Subprime: « misére de la finance » on approche de la réalité mais tout cela ramené à la mesure des hommes de ce temps -les millions de homeowners en passe d’être jettés à la rue – ma préférence irait à « la finance de la misère ».