Un article paru le 6 mai dans Libération : To build a better mousetrap, par Camille Gévaudan. Un extrait :
« On lâche la souris dans le trou… et l’engrenage infernal se met en route. Trois lignes colorées apparaissent. Il y a des postes manuels et des postes informatiques. Les chats mènent la danse. Les souris font la queue. On les déplace d’un étage à l’autre sans trop comprendre ce que ça change, et on les voit noircir sans trop savoir quoi y faire. Et puis, on a perdu. […] Banqueroute. Insurrection. Banqueroute. Insurrection. Peut-on gagner ce fichu jeu ? Peut-on maintenir les emplois, ou ne serait-ce que la boîte à flot ? To build a better mousetrap met en scène « l’une des contradictions les plus violentes du capitalisme : le déclin de l’emploi causé par les technologies économisant la main d’œuvre », précisent les militants italiens de Molle Industria. « Pouvez-vous sauver le capitalisme de lui-même ? » »
Les pages 35 à 38 de La survie de l’espèce, par Jorion et Maklès, Futuropolis / Arte 2012. (Oui, c’est bien Friedrich Hayek dans le rôle du bourreau).
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Plaidoyer pour un photon isolé Entre moi et cet unique grain de lumière s’interpose un portrait qui montre et fait…