Ce photon a une tronche de citron !
*Godot est mort !*
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par Fock (https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_de_Fock), si on dit qu’il n’y a qu’un et un seul photon, il n’a point de phase, tant…
Oups : lire « Thétis »
« C’est beaucoup plus économique ! On n’a pas besoin de mettre des milliards de dollars » dites-vous à la 3ème…
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@François M C’est effectivement une gesticulation, en espérant que la chorégraphie soit comprise. Il ne semble pas que la logique…
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Bonsoir Michelle, merci pour v/réponse qui me met du baume au coeur car j’ai été malade, un peu secouée pas…
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94 réponses à “Le temps qu’il fait, le 13 novembre 2009”
ce soir le Sénat français a débattu du projet de loi qui visait à taxer les reventes d’or de 16,2% en France ( au titre de la contibution sociale généralisée CSG et dont l’objectif est de combler le déficit de la Sécurité Sociale) . Bien entendu il ne s’agissait de rien d’autre que de brandir un drapeau pour faire peur ( ce qui a été le cas ces derniers jours !) . L’amendement a été rejetté. Pendant les débats un sénateur a demandé à la Ministre Roseline Bachelot si elle pouvait dire combien pourrait rapporter une telle taxe et elle a répondu en souriant qu’elle n’en n’avait aucune idée. Elle a même été jusqu’à dire » comme vous le remarquez je ne porte jamais de bijoux en or, alors je ne suis pas partie prenante dans cette affaire »
Moralité après un débat de dix minutes et un vote à mains levées, le rejet de l’amendement a ressemblé à un match de football truqué où l’arbitre avait été acheté ( avec de l’or bien sûr)
Après ces débats les sénateurs ont repris leurs sieste
@BA c’est intéressant comme analyse mais à un moment les mauvaises nouvelles prendront le pas sur les avantages liés aux bas taux, le moteur de la bourse reste les bénéfices et pour moi les mauvaises nouvelles c’est une consommation qui s’effrite et les taux n’y changerons rien (à mon avis), je crois qu’en ce moment la bourse est tenue par les grosses poches ou par les ordinateurs de trading qui veulent récupérer leurs pertes ou stabiliser un marché pourrie et qui vendent tout doucement, bcp de bons résultats viennent de coupure dans le personnel, moi j’appelle pas ca de la croissance.
Techniquement parlant le dow et le nasdaq ont une résistance assez lourde à briser et le faire après plus de 8 mois consécutifs de hausse me semble osée, la tendance de ses deux indices est neutre depuis 2000 et on pourrait presque dire pour le nasdaq baissière et vous savez ce qu’on dit dans les salles de courtages, trend is your friend, alors oui tout est possible mais mais mais.
@dissy il parait qu’il y en aurait pour un cube de 2km de coté, autant les livrer à partir de la terre ca coutera moins cher, de toutes façons l’aventure spatiale est en train de décliner, ensuite si des hommes doivent quitter la terre ce ne sera qu’une petite poignée, genre 1000 et je suis généreux, le reste demeurera ici dans la misère qui arrive.
Moi je ne vois pas pourquoi on serait optimiste à moins d’avoir des lunettes roses.
@ Toto. « Moi je ne vois pas pourquoi on serait optimiste »
Parce que l’être humain est ainsi fait qu’il ne change (en bien) qu’après des catastrophes – et encore pas toujours…
ceux qui trouvent que ce blog a changé ont raison;
pendant deux ans, Paul a recherché les éléments dont il avait besoin pour conforter ses intuitions;
aujourd’hui, tout cela est dans ses livres; si nous voulons rester au même niveau de compréhension des phénomènes, nous devons les lire; parce que Paul ne viendra pas toutes les semaines nous présenter sa petite vidéo :
« Bonjour, c’est vendredi ; je vous lis le chapitre suivant de l’argent, mode d’emploi »
Quant à redire, à longueur de blog, ce que contiennent les livres, c’est ce qu’on appelle « radoter »; il n’a pas encore l’âge.
Tout est prêt; la théorie; les mesures qui en découlent; le chemin pour les mesures qui viennent ensuite;
Il ne faut pas attendre de lui qu’il nous « ponde » une nouvelle théorie par dessus la première, ou en contradiction avec elle; en plus, il ne l’a pas fait pour s’amuser; il a cru que la communauté des Hommes pouvait en avoir besoin.
Maintenant c’est à cette communauté de s’en emparer; il passe donc au stade politique de l’application concrète; avant qu’il ne soit trop tard.
Ce qui fait que le blog a changé; il n’est plus autant en recherche, il n’est plus autant à se poser des questions; il nous faut du concret ; mes textes sur la Hongrie tombent juste quand il faut, puisqu’ils sont la démonstration vivante de ce que ces livres contiennent en plus théorique.
Tout à fait d’accord Auspitz.
Ceci dit la Hongrie n’a pas de solution alternative à l’Europe, sauf à changer d’alliance….
Pour ce qui nous concerne il nous faut trouver un couloir politique pour passer à l’action.
Seulement il y des vaches qui « broutent »dans ce couloir.
Espérons que Paul possède un pic boeufs de poche…il va sans-doute falloir embaucher des toreros pour l’avenir.
Auspitz, j’ai fait observer un jour que les commentateurs du « Blog de Paul Jorion » s’identifiaient souvent au « Club des gens qui n’ont pas lu les ouvrages de Paul Jorion, et n’ont aucune intention de le faire ». Il faut que vous vous fassiez une raison : les commentateurs de blogs sont souvent des rédacteurs plutôt que des lecteurs. Les commentaires du genre : « Pourquoi Paul Jorion ne nous dit-il pas ce qu’il pense de la crise des subprimes ? », ont encore de beaux jours devant eux.
Votre observation me donne toutefois l’idée d’un petit récapitulatif.
Je fais partie des gens qui n’ont aucune intention de lire quelque livre que ce soit. D’une part parce que écrire un livre me semble être d’une prétention inouïe, d’autre part parce que celui qui a quelque chose de sérieux à dire (mis à part les ouvrages purement techniques ou les oeuvres poétiques), le fait en un paragraphe… ce qui ne ferait jamais l’objet d’une publication.
Faire un bouquin sur le sujet de l’argent, alors que tout le monde sait, depuis l’invention du coquillage décoratif, qu’il ne s’agit que d’une convention d’échange, ne me semble pas raisonnable. Encore moins raisonnable de le lire.
Saviez vous que la « commune » (dans la même acception que celle de la « Commune de Paris », était déjà citée au XIIIème siècle dans « la matière de Bretagne » – le cycle du Graal – avec la même révulsion dont serait capable aujourd’hui un représentant patronal. Rien de neuf sous le soleil de l’édition.
Si j’achetais encore des livres, ce serait probablement un épisode du Roman de Renard, que je n’aurais pas déjà lu.
Ce que je note de plus limpide sur les sites « politiques », c’est l’absence caractérisée de « programme ». Du baratin, oui. A loisir. Alors que tout citoyen doté d’un cerveau ordinaire peut refaire le monde en quelques lignes. On qualifie ça de « simplisme », de « populisme ». Dommage que les intellos, tels Lévi-Strauss marchant dans la jungle avec une canne, soient inaptes à percevoir la simplicité effarante de la dominance sociale.
@ Betov
Votre « celui qui a quelque chose de sérieux à dire le fait en un paragraphe » connaîtra certainement la même célébrité que son prédécesseur : les « 10 secondes maximum d’attention » du téléspectateur moyen. Votre définition a en tout cas un immense mérite : elle vous place parmi les gens sérieux.
Bonjour Betov,
Vous n’en achèteriez pas un seul, même pas celui-là dont le titre sonne assez technique ; ne serait-ce que pour
l’offrir à quelqu’un qui aimerait le lire ?
…vous allez penser que je fais de la promotion pour l’auteur à l’approche des orgiaques périodes de fin d’année…
Bonne journée
@Betov
Il faut parfois deux lignes à un poème pour atteindre sa plénitude, et d’autres fois, il lui en faut dix de plus.
L’expression d’une pensée intellectuelle obéit à la même loi : parfois il lui faut cinquante page et parfois mille autres.
@Ghost dog
En ce qui me concerne, je serais moins sévère que vous avec Betov.
Parce que nous sommes arrivés à un point critique de la culture écrite et de l’édition telle que malheureusement elle est devenue.
En cela son petit côté fuck les livres ne me gène pas.
Je dirais même que si une certaine lecture consommatrice, induite par des années de gentille scolarité et de mythe des élites qui savent, cède le pas, et bien tant mieux ! Du moment que Betov lit de la poésie, et que des lecteurs libres et sélectifs savent reconnaître les nouveaux Freud, Spinoza, Aristote…
@Betov
Déjà, Paul est un éternel optimiste : il y a comme un grosse bienveillance dans la modération, annoncée draconienne il y a peu…
Il me semble que le Roman de Renart n’est pas exactement la quintessence de la brièveté…Ce corpus n’est ni technique, ni poétique (quoiqu’allégorique).
Vous vous êtes « tapé » le cycle du Graal, et vous ne concevez d’écrit que laconique ?
Vous vous refusez à lire un livre papier, mais vous consultez ce blog abondamment alimenté, en laissant de fréquents commentaires ?
Etes-vous ce petit garçon d’Astérix en Hispanie, qui retient sa respiration après avoir lancé la Vérité qui tue ?
Comment s’appelait l’autre commentateur du même tonneau, qui a quitté la cour de récréation en claquant le portail ?
Ah, oui…Dalembert !
Tiens, j’ai un moment, je vais me relire La Bruyère…clair et concis ! 🙂
@coucou:
Le cycle du Graal appartient à un tout autre domaine. D’une part, il n’est pas de ce monde au sens de la mystique celte (le monde de l’autre côté du pont, celui qui, tel le zen des japoniaiseries, est d’ailleurs tout en étant là), et d’autre part, au sens de l’histoire de la littérature, en ce qu’il n’est qu’une récupération tardive et morcelée d’une tradition celtique en lambeaux. Toutes choses qui sont à jamais inaccessibles à la pensée moderne.
En un sens, les lambeaux qu’on pourrait en retirer, s’il nous restait un tant soit peu de pensée dionisiaque, tomberaient dans le registre de « l’impurement technique ». Passons, comme disait l’autre (« soyez passant » Evangile de Thomas). 😉
@Betov
stimulation du cortex, je rebondis : « l’impurement technique » que vous évoquez peut-il être défini comme incapacité à recevoir une tradition qui appartient à une autre culture, une impossibilité structurelle en somme, du fait de l’épaisseur des siècles ?
Sans doute. Mais Homère, ou les aèdes alphabétisés que l’on cache sous ce nom, en passant à l’écrit l’Iliade et L’Odyssée, et Hésiode, la Théogonie…
Ont-ils lapidé leur Graal à eux, croyant le sauver de l’oubli par une diffusion méditerranéenne ?
La « pensée dionysiaque »…je verrais plutôt la pensée orphique dans vos propos sur cette matière primordiale de l’au-delà et de l’en-deçà, liés par un passage diffus.
Paul reprend Aristote. A quelques écarts ésotériques près, il ne peut louper son coup pour comprendre ces exposés techniques. D’autant qu’il en revient au texte original !
Untel reprend…un Sophocle : il ne le comprendra sûrement jamais comme le public athénien du Vème s. Pour autant, il va en tirer des choses.
C’était l’intime conviction de Montaigne, de Rabelais, même de Cyrano de Bergerac. Sans quoi ils se seraient pendus à 15 ans !
Auriez-vous l’envie et le temps de rédiger un (bref!) billet pour Paul, pour nous parler de cette matière diffuse, informe, débarrassée de sa récupération chrétienne, de ses avatars-Tolkien ?
Petite conclusion synthétique : une formule, sublime. Introduction de Thucydide, exposé des motivations de l’historien, puis :
Pour ne pas recommencer les erreurs. Pour une intelligence collective, tenant compte du passé, parce que l’homme reste fondamentalement le même.
@ Betov « …écrire un livre me semble être d’une prétention inouïe […] celui qui a quelque chose de sérieux à dire (mis à part les ouvrages purement techniques ou les oeuvres poétiques), le fait en un paragraphe… ce qui ne ferait jamais l’objet d’une publication. »
Tout Platon, tout Aristote, tout Plotin, tout Montaigne, tout Pascal, tout Gracián, tout Diderot, tout Schopenhauer, tout Nietzsche, tout Freud, tout Jung, tout B. Russell, tout Wittgenstein, tout Popper, tout Levi-Strauss (entre beaucoup d’autres), mais aussi tout Goethe, tout Leopardi, tout Unamuno, tout Valéry, tout Borges, tout Pessoa – qui étaient des essayistes en plus de poètes – en un seul paragraphe chacun?
Et aussi les romanciers (puisqu’un roman n’est pas de la poésie ni un écrit technique): tout Cervantes, tout Balzac, tout Dostoievski, tout Tolstoi, tout Proust, tout Joyce, tout Kafka, tout Céline, tout Musil, tout T. Mann, tout Nabokov, tout García Márquez (entre beaucoup d’autres), en un seul paragraphe chacun?
Sans oublier les dramaturges: tout Eschyle, tout Sophocle, tout Euripide, tout Aristophane, tout Shakespeare, tout Calderón, tout Lope de Vega, tout Corneille, tout Racine, tout Schiller, tout Goldoni, tout Beaumarchais, tout Tchekhov, tout Strindberg, tout Ibsen, tout Pirandello (entre beaucoup d’autres), en un seul paragraphe chacun?
Vous devriez méditer avant d’écrire le « Tout ce qui est excessif est insignifiant » de Tayllerand.
la musique qui marche au pas,
cela ne m’intéresse pas;
En vertu de quoi, je ne me souviens pas d’avoir jamais assisté à une cérémonie du 11 novembre;
Mais un jour, notre président se tape sur la tête, et s’écrie : « mais oui, mais c’est bien sûr; notre problème c’est qu’il y a trop de commémorations dans notre cher pays; » et de former aussitôt une commission dont le président devra déclarer, après étude et recherches ,qu’effectivement, il y a trop de commémorations; et dans la foulée, désigner celles qui passeront à l’échafaud;
le but était au passage de faire sauter tel ou tel jour férié ; mais pas seulement, car pour se souvenir, il n’y a pas obligatoirement besoin d’être en vacances; le souvenir est lié à l’identité, et chaque peuple n’a pas les mêmes souvenirs, donc la même identité; celle-ci- étant politique au plus haut point; mais tant de différences dans le paysage, ça fatigue le grand marché qui souhaiterait ne pas voir dépasser des têtes; donc on peut toujours essayer de raboter, de niveler;
il se trouve que les identités nationales, toutes, même celles des autres, sont un des remparts contre la mondialisation; je vais dans un autre pays parce qu’il est différent du mien; et ça m’intéresse de voir ces différences; si non, je reste chez moi, si je sais que c’est partout pareil;
de ce jour, j’ai pris la ferme décision d’assister à tous les 11 novembre; et mon étonnement !!
moi qui m’imaginais qu’on célébrait la vaillance de nos armées et qu’on fêtait la victoire sur l’ennemi héréditaire;
il s’agit ,au contraire , de déplorer l’ensemble des victimes; morts, blessés, veuves orphelins; et sans distinction de camp; et cette année, le Traité de Versailles a été présenté comme responsable de la Seconde Guerre Mondiale !!!
le même texte, qui est lu dans chaque village, est rédigé par l’Association Nationale des Anciens Combattants, et lu à Bourgoin-Jallieu par ma jeune copine, Mme Loup,(86 ans) présidente de l’association locale;
Vis à vis de la Prusse nous en étions à la nième « revanche » depuis l’épopée napoléonnienne.
Le tribut imposé à l’Allemagne par le traité de Versailles a de nombreuses explications macro-politico-économiques dont certaines très banco-« conspirationnistes ».
Mettre en cause ce traité ce serait partiellement « pardonner » Hitler.
Est-ce plausible?
Est-ce bon pour la totale réconciliation franco-allemande?
Il me semblait que c’était chose faite et qu’il était inutile de retourner le couteau..
A votre différence , j’ai de mon côté assisté à de nombreuses cérémonies du 11 Novembre , individuellemnt ou comme …officiel . La célébration qui vous parait récente de l’ensemble des victimes , est en fait ancienne voire originelle ( « plus jamais ça » dès 1919 ) .
J’ai une sensibilité particulière pour cette date car elle a été l’occasion d’une forme de transmission de sagesse par mon grand père maternel . Il avait participé à » la grande guerre » avec quatre de ses frères . Deux y sont morts , le benjamin est revenu indemne , lui même en est revenu » gueule cassée » comme son cadet .
Trente ans après l’armistice , il avait encore des éclats d’obus qui ressortaient périodiquement de ses chairs .
Ce qu’il me transmettait c’est la découverte de sa naïvité dans la mise en condition pour le départ au front ( où il allait sincèrement défendre sa patrie) et de l’igominie du traitement des hommes ,dans tous les bords, dans l’hystérie du combat où on ne comprend et maîtrise plus rien . Son message était qu’il avait le sentiment d’avoir été acteur ( comme ses alter-ego » d’en face ») d’une pièce trompeuse .
Il n’était pas anti-militariste ( contre l’usage de la force ) et moi non plus , mais son conseil était clair : autant que votre intelligence vous le permette ,ne participez , en mettant en jeu ce qu’il y a de plus précieux , votre vie , qu’à des combats qui sont clairement les vôtres et ceux de vos idéaux communs . Mon père , qui a laissé sa santé et pas mal de copains du côté de Bitch près de la frontière luxembougeoise en fin 1939- début 1940 , n’a pas eu le temps de recevoir le message , mais il est revenu avec les mêmes mots .
C’est pourquoi ce blog et quelques autres sont précieux pour se forger un jugement pas trop naïf .
@ Betov,
L’Olympe d’où vous semblez nous contempler se révèle être une marche vers la cave…Faites une analyse mon vieux, vous nous épargnerez ce genre de diatribe !
à MH [ 13 novembre à 13:49]
En Reference : Votre inventaire de différences par rapport à 1929-33
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Votre idée de revenir environ 80 ans en arrière est EXCELLENTE
C’est notamment l’époque du fameux de Traité de Bâle, constitutif de la BRI, qui nous chapeaute et nous bloque tant aujourd’hui.
Pour désherber à la binette un peu plus loin que MH, ne devrions-nous pas tous nous y mettre ?
Pour ma part, à ce stade, voici, ma première contribution POUR LE FLASHBACK à REALISER
… notamment par les seniors et les jeunes historien(ne)s.
En 1929-33, mon père avait 18-22 ans et ma mère 13-17 ans
Avec leurs récits, photos, etc. je me suis fait une idée de la façon dont ils vivaient alors.
MH, je reprends vos termes :
La crise actuelle se produit dans un contexte très différent de celui de la Grande Dépression de 1929-33
En Reference : Votre inventaire de différences
– Je n’ai rien ajouté à vos items; je les ai simplement légèrement retouchés et rapprochés par affinité.
– Ce petit amendement a été fait en vitesse, histoire de marquer votre « optimisme … ? de façade ? » avec un petit coup de peinture « Réel pieds au sol ».
… ? « Optimisme pour moutons, pigeons et autres couillons » ?
Aurais-je été, au contraire, trop Zola ? trop réaliste ?
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n° « ThemeDeVar »
Le n° « ThemeDeVar » a été ajouté pour simplifier le repérage de votre commentaire
@Betov 14 novembre 2009 à 11:44 http://www.pauljorion.com/blog/?p=4894#comment-40774
« Ecrire un livre me semble être d’une prétention inouïe »
Mais qu’est-ce qui peut bien faire écrire cette phrase de 9 mots ? La modestie ? La jalousie ? La mauvaise humeur ? La provocation ? L’ingratitude à l’égard des auteurs de tous les livres que vous avez lus et à l’égard de Paul Jorion qui vous permet d’écrire dans ce blog, une sorte de livre collectif dans lequel vous écrivez vous-même. Expliquez-nous !
Un peu de tout. Durant la première partie de ma vie, j’ai lu comme une éponge, et, étant donné mes centres d’intérêts de l’époque (principalement littérature médiévale), j’ai appris à trier l’accessoire de l’essentiel. Ce qui fait, sans doute, que je suis d’assez mauvais poil, quand je vois qu’il est radicalement impossible de faire passer quelque idée neuve, surtout lorsqu’elle est simple et qu’elle ne requière pas de références livresques ou scientifique. Né dans le sous-prolétariat à une époque où les grand-mères s’émerveillaient encore d’avoir l’eau courrante sur la pierre à eau, je hais les intellos, les références éducatives, la soi-disant « culture » qui fait la posture à bon compte, et toutes ces choses qui sont à la base de la dominance sociale.
Avez-vous remarqué qu’un bouquin se doit d’avoir au moins 300 pages ? le format lui-même est plus que douteux. Le premier métier du libraire et de l’éditeur est de vendre du papier. A l’heure où le disque lui-même disparaît (heureusement) pour redonner à la musique son aspect libre (dans tous les sens du terme), mort au livre, et vive les publications internet. Ne serait-ce que financièrement (je dépense entre 500 et 600 euros par mois), il est hors de question que j’achète du papier déjà écris. Ah ! L’angoisse salvatrice de la page blanche ou de la première corde pas encore ébranlée. 😉
Aussi, oui. J’aime bien provoquer Paul Jorion. Pas seulement lui, mais lui, je l’aime bien. Il réagit à la provocation, comme on peut le voir ci-dessus: Il le niera, bien sûr, mais voyez: J’attaque en disant que je ne lirai pas de livre. Il réagit en listant ses publications. Je me moque de Levy Strauss. Il réagit en publiant une évocation à sa mémoire. Je ne vais pas expliquer comment et pourquoi Freud fut un escroc et un fourbe, Paul se sentirait obligé de nous sortir un article valorisant sa psychanalyse, et, comme aurait dit yung en riant, se serait évidemment un pur hasard. 🙂
à Paul:
Silvio Gesell ne dit pas que cela, et il convient de lire tout ce chapitre qu’il consacre à la question du « pourquoi on peut faire de la monnaie avec du papier » pour mieux sairir!
je maintiens que vos points de vue sont proches, et s’il sont « aristoitéliciens », je veux bien vous croire.
Ceci dit, mon petit texte ne parle pas que de cela!
Pour Obama, la Chine est une alliée, pas une rivale.
Les Chinois qui s’étaient esclaffés en juin dernier à la remarque de Timothy Geithner, Secrétaire au Trésor américain, que l’achat par la Chine de Bons du Trésor américains avait été un excellent placement, ont dû cette fois s’étrangler de rire.
Faux et Vrai Bilatéralisme sino-américain
A 00:00 j’ai repris, sans les changer, les 21 Thèmes-de-Variation proposés par MH
pour comparer (de façon pertinente ou illusoire) la période 1929-1933 avec l’actuelle période 2009-2013
soit 80 ans d’écart.
ce qu’étaient alors les rapports entre Chine et Usa je n’en sais fichtrement rien du tout.
Les établissements très variés (filiales, bureaux-outposts, joint-ventures, etc.) des transnationales sont répartis sur toutes les aires géographiques. Le « peuple » où se trouve le siège de consolidation n’est qu’un peuple parmi beaucoup d’autres sans
compter les multiples paradis fiscaux exotiques où la notion même de « peuple local » est sans aucune espèce d’importance. Un récent pdg d’Alcatel (je ne me souviens plus de son nom) trouvait parfaitement normal de limiter la langue intérieure à
l’anglais et de déplacer le siège-social de consolidation aux Pays-Bas vu que le statut fiscal de holding lui apparaissait plus favorable. Ces établissements de transnatioanles sont largement financées en dehors du territoire du siège de consolidation
(que ce dernier soit à Singapour, Amsterdam, Dover ou ailleurs). Le niveau de vie de la « classe moyenne exclue du travail » n’est un souci pour ces transnationales que pour des raisons de second rang, telles que :
– [A] Dans le cas où c’est une transnationale « biens de consommation » cela peut affecter ses prévisions de vente; si elle est dans le luxe ou l’habitat haut-de-gamme ce n’est pas son problème
– [B] Dans le cas où il n’y aurait pas d’eximbank ou Coface, Hermes, etc pour garantir ses « grands contrats sur plusieurs années peut-être pourrait-elle voir, la transnationale, une élévation du « risque-pays » au sens « risque politique » (économie
générale).
Sur ces deux points la rationalité [ If(…) Then (…)] de la transnationale « d’origine chinoise » est identique à celle « d’origine atlantique » (anglo-saxonne, « »occidentale » »).
Cette rationalité n’est pas sur la planète que celle d’un sociologue universitaire qui s’intéresserait aux classes moyennes de deux nations précises aux sens du XIXe siècle : Chine du territoire chinois avec sa monnaie domestique et Usa du territoire à
51 Etats (dont Delaware State) avec sa monnaie domestique $_domestique, n’ayant rien à voir avec les euro$ et autres eurodevises qui financent largement les transnationales que celles-ci soient (avec doubles guillemets) « »d’origine ou de
langue dominante chinoise » » ou « »d’origine ou de langue etanusienne » ».
Il m’apparait absolument VITAL de toujours bien différencier
les partenariats transfrontières en tenant compte de la nature des formes statutaires entre les parties :
Qautre exemples :
¤ partenariats entre banques privées « »d’origine ou de langue dominante chinoise » » ou « »d’origine ou de langue etanusienne » ».
¤ partenariats entre transnationales Economie Réelle Affaires Civiles « »d’origine ou de langue dominante chinoise » » ou « »d’origine ou de langue etanusienne » ».
¤ partenariats entre transnationales du monde militaro-industriel, secret et furtif, « »d’origine ou de langue dominante chinoise » » ou « »d’origine ou de langue etanusienne » ».
¤ partenariats entre entités ministérielles, militaires ou non, de la Chine (nation) et des Usa (nation)
Obama ne peut guère parler avec une certaine voix de tutelle que de la dernière ligne, et, pour une part, de l’avant dernière ligne (le complexe militaro-industriel) vu que son Administration passe des commandes au nom du peuple etasunien.
Quant à la première ligne, la haute finance, il n’a pas même une écoute à la FED, c’est dire le degré de son impuissance.
Dans ma re-rédaction de la ThemaVariation_21 (MH) mon souci à l’égard du lecteur était de différencier
(a) les intérêts des transnationales par essence furtives, largement financées et « agglomérantes » en dehors du territoire du siège de consolidation
(b) les intérêts du sociologue universitaire qui s’intéresse aux classes moyennes
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/11/14/pour-obama-la-chine-est-une-alliee-pas-une-rivale_1267159_3222.html
« nos pays sont devenus les deux premières économies mondiales »
Des holdings cotées en Bourse présentent des comptes consolidées en un pays ou un autre, par exemple à Hong-Kong, Shanghai, NewYork.
Et alors ? ça ne représente en rien les économies intérieures domestiques de la Chine (nation) ou des Usa (nations).
Il y a surement davantage de marges prédatées (offshorées) à Zurich, Luxembourg, Londres, etc. qu’en Chine intra-murros, Usa intra-murros et même que Chine+Usa réunis.
En rien
Q1: Obama est-il ou non conscient que sa phrase n’a aucun sens ou est, pour le moins très trompeuse, diffuse une fausse représentation du réel ?
Q2: Mais à qui ce genre de discours peut-il s’adresser ?
En reference : plus haut, dans le prolongement de J.Finckh (13 nov à 22:34)
ce jour 14 nov à 18:11
il est suggéré de prendre aussi en compte
deux « fonctions propres » des « Formes de monnaie Epargne & Emprunt-Crédit »
Une formulation est proposée pour la première fonction
La seconde …?… est en point de suspension
Au cas où vous auriez une idée ?
Je vous laisse choisir entre fonction « pot-laitière », « castel-ispanique« , « picrocholine« , « pyrrhusienne« …
Pour la 1ère fonction, j’ajouterais:
« Le corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_économique_asiatique
Je ne saisis pas votre question!
Il est clair que pour moi, tout comme pour Paul, me semble-t-il, l’éprgne n’est absolument pas monnaie, mais un avoir monétaire!
précisez donc vos questions!
JF
Vous n’avez pas répondu à ma question http://www.pauljorion.com/blog/?p=4926#comment-40872
» Pouvez vous m’expliquer pourquoi, avec la monnaie fondante les prix deviendraient rigoureusement stables? J’avoue que je ne comprends pas le raccourcis. «
@ Auguste (F Jéru) 14 novembre 2009 à 17:30 http://www.pauljorion.com/blog/?p=4894#comment-40810
« ThmVar_10 • l’inquiétante évolution des protections sociales bâties en 1945.
« Que deviendront-elles dans quelques semaines alors que le pouvoir d’achat sera divisé par deux ? »
Effectivement vous rajoutez une couche d’optimisme dans tout cet inventaire. Mais pour ce qui est de l’évolution du pouvoir d’achat, d’où tirez-vous cette prévision à aussi court terme ?
masse monetaire multipliee par deux.
Qu’en pensez-vous ?
le fin bareur, régate ou croisière hauturière
J’ai frappé trop vite : je pensais semestres, pas semaines
Bonjour M.Jorion,
Il y a effectivement des lueurs : » les gouvernements comprennent qu’il ne pourront pas survivre à une nouvelle fourberie des marchés et que l’avenir n’est pas glorieux »
Cependant, nous assistons à un phénomène inquiétant : afin de maintenir des rendements financiers pour payer des bonus disproportionné, les entreprises licencient. Ces dernières (je parle essentiellement des grandes entreprises, les petites n’ont hélas pas accès au crédit) sont amplement aidées par des taux directeurs très faible qui leur permettent de remplacer des employés par des machines par le biais du crédit à faible taux d’intérêt. (comme on peut l’observer pour la manufacture).
Pour moi, le futur sera une économie du chômage . (comme je le détaille sur mon blog)
Enfin le sauvetage de la finance à provoqué une concentration supplémentaire du risque qui est de point de vu, au jour d’aujourd’hui, ingérable. (voire les billets de M.Leclerc qui l’explique très bien).
Monsieur Jorion, je ne suis pas très optimiste car l’école de Chicago dirige le monde et jusqu’à présent tout les prix nobels d’économie appartiennent à cette école à l’exception de Elinor Ostrom. Peu être, pouvons nous voir dans cette nomination une lueur d’espoir?
C’est toujours un plaisir de vous écouter et de vous lire et je dois vous avouez qu’il est dommage que les gens occupant les postes de décisions n’aient pas votre oeil expert et humain sur les choses.
Alexandre L.
J’aimerais bien qu’un commentateur des billets « Le temps qu’il fait » de Paul, me dise ce qu’il commente exactement, car je ne vois son mon écran qu’un carré gris foncé ; j’ai beau cliquer dessus, rien n’apparait.
à Paulo qui me pose cette question:
Vous n’avez pas répondu à ma question http://www.pauljorion.com/blog/?p=4926#comment-40872
» Pouvez vous m’expliquer pourquoi, avec la monnaie fondante les prix deviendraient rigoureusement stables? J’avoue que je ne comprends pas le raccourcis. «
Réponse JF:
La stabilité des prix est en effet une conséquence rigoureuse de la dite monnaie fondante!
C’est le raisonnement de la théorie quantitative qui s’applique: P=M*V
où P est le niveau des prix (l’indice des prix
M est la masse monétaire circulante
V est la vitesse des transactions.
Il y a plusieurs raisons qui font que les prix auront tendance à se stabiliser dès l’introduction de la monnaie fondante.
1) En obtenant, grâce à la difficulté accrue de retirer du circuit la monnaie émise , l’effet en sera qu’elle circulera toujours en totalité. Donc, par rapport à la quantité de M1 émise par la banque centrale, l’hypothèse que tout circule à tout moment est donc probable!
2) En même temps, la « fonte » étant un élément stable dans le temps, l’hypothèse que la monnaie circule à tout moment à un point proche du maximum de sa vitesse possible est plausible. Il est dès lors possible de poser la vitesse de circulatin comme une constante.
3) Il en résulte, en application de la formule quantitative, que P est une stricte fonction quantitative dépendant de la quantité (M1) émise.
4) Un autre offet obtenu de cette monnaie circulant rapidement est effectivement le fait que le marché sera pratiquement toujours entièrement vidé de quasiment tous les produits qui s’y présentent. A supposer que cela entraînerait une augmentation de l’offre du fait que les capacités de production de l’économie seraient davantage utilisées, il en résulterait une offre plus abondante avec la même quantité de monnaie. Cela nécessiterait alors une croissance de M1, car, sinon, nous assisterions à une baisse des prix. Mais cette « croissance », qui irait tout au plus jusqu’au plein emploi dans un espace économique donné, se ferait, de plus, avec une préférence pour des biens durables, car les arbitrages de tout un chacun privilégieront le durable, car cette préférence deviendra dès lors le meilleur moyen de sécuriser sa richesse; la thésaurisation de la monnaie elle-même, liée au fait que celle-ci préserve mieux que tout autre objet la « richesse » individuelle (avec la monnaie actuelle non fonadante…), disparaîtrait.
5) Cette situation nouvelle permettrait aussi la réduction généralisée du temps de travail, car le plein emploi renforce singulièrement le rapport des forces en faveur des travailleurs qui, dès lors pourront privilégier un plus en temps libre et en qualité de vie qu’un plus de salaires, car ils serot assurés du plein mploi.
6)De même, des arbitrages écologiques deviendraient possibles sans être ruineux pour l’emploi notamment.
7) La baisse générale des taux d’intérêts du crédit et de l’épargne (qui sont liés!) permettrait aussi un rapide désendettement de tous et organiserait durablement une répartition des richesses plus équitable.
Il est certain que l’objectif de prix stables doit être celui de la banque centrale considérée, mais je rappelle que ceci est déjà son souhait actuellement sans y parvenir tout à fait, car la banque centrale ne maîtrise rien de la vitesse de circulation actuellement.
Il est certain aussi que la « fonte » prévue, de l’ordre de 5% annuels, obligera la banque centrale de restaurer en continu la perte de masse du même ordre de grandeur.
L’ajustage fin devra résulter de la mesure statistique des prix moyens, en sachant qu’une éventuelle baisse des prix observée se compenserait par une émission de monnaie supplémentaire pour obtenir justement cette stabilité.
Une hausse nécessiterait de « laisser fondre » sans compensation ou alors, un retrait de numéraire via les techniques éprouvées de la banque centrale.
Ce nouveau dispositif, plutôt sensible et réactif, permettra de maintenir les variations des prix dans une fourchette très minime! La stabilité des prix ne sera pas un effet « automatique » de la monnaie fondante, mais son obtention sera techniquement devenu fdacile et sûre!
Si vous souhaitez approfondir votre réflexion sur ce point, je vous enverrai un exemplaire de l’ouvrage de Silvio Gesell « l’ordre économique naturel » en traduction française, vous y trouverez un argumentaire exhaustif.
Envooyez-moi un mail dans ce cas: Johannes.finckh@wanadoo.fr
Bien à vous, jf
JF
wikipedia:
Je retiens donc que « Cette équation est générale et minimaliste : de très nombreux facteurs doivent être pris en compte pour expliquer l’inflation et la manière de la contrer. »
Il me semble donc que vous simplifiez beaucoup en considérant « qu’avec une monnaie fondante les prix deviendraient rigoureusement stables » et que vous oubliiez toutes les autres causes possibles de l’inflation… re wikipedia:
Je pense comme Paulo. Une monnaie fondante n’implique pas nécessairement de stabilité des prix. Tout dépend de la structure de production et de la capacité normale de production.
La monnaie fondante permettrait d’éviter une surproduction et rendrait possible l’identité de Say qui postule une économie de troc avec une monnaie réduite à ses fonctions d’unité de compte et de réserve de valeur. Ce qui pourrait réduire les fuites de monnaie du circuit économique grâce au caractère érosif de réserve de valeur de la monnaie, mais non les supprimer.
JF réfléchit dans le cadre quantitativiste qui pose comme prédicat la stabilité de la vitesse de la monnaie. Dire que la vitesse de la circulation monétaire accélererait est exact mais on ne peut alors se situer sur le terrain quantitativiste.
La stabilité des prix dépendrait alors de la capacité de la structure de production à absorber la monnaie qui aurait fui. II faudrait que l’allongement de la structure de la production emploie cette « quantité » (entre guillemets car le cadre endogène ou exogène de la monnaie n’a pas été posé) se révèle neutre, c’est-à-dire, qu’il n’y ait pas d’épargne forcée impliquant une baisse de la consommation afin de soutenir la hausse nette de l’investissement.
Enfin, la monnaie étant un actif comme un autre, il se passerait la même chose que pour le dollar actuellement. La défiance à son égard s’accroît si bien qu’elle se répercute dans la montée du cours des matières premières. Cela signifie que les détenteurs de dollars préfèrent diversifier leur réserve de valeur et ainsi échanger leur dollars en or ou dans d’autres métaux.
Au final, seule une limitation du droit de propriété est efficace si on veut réduire les inégalités.
Monsieur Jorion, bonjour!
Dans votre intervention du vendredi,
Je retiendrai surtout que si le marché le veut, la situation évoluera.Bien, mais si le marché disparait , que se passera -t’il?
La mémoire permet de remonter vers le passé, sonder le futur est possible, cela relève de la clairvoyance.En ce qui me concerne très embryonnaire et peu fiable, je dois le reconnaitre.
Selon ce qui m’est accessible, j’estime probable la fin de l’économie de marché au profit d’une économie planifiée.
nous allons vers d’énormes tumultes. perceptibles dès 2005-2006, plusieurs évènements fâcheux pour l’Occident,
à savoir la défaite de la coalition en Afghanistan, défaite méritée car les attentats du 11 septembre 2001 sont de type faux drapeau et l’effondrement proche des USA se sont présentées à ma conscience.
En introduisant certains mots-clefs conformes à ce que je ressentais, le Net m’a permis de découvrir Leap 2020, Gerald Celente, Igor Panarine, entre autres.
Et puis surtout Baba Vanga.Cette voyante bulgare aveugle, dont l’institut de parapsychologie de Bulgarie lui attribue un taux de reussite de 80 pour cent, annonce des évènements difficiles qui viennent conforter ceux que j’avais découverts.
L’ex officier du KGB Igor Panirine développe seulement ce qu’elle a mis à jour.
Si d’aventure , vous voulez prendre connaissance de ce qu’elle annonce, Baba Vanga est un mot-clef.Sa notoriété , car elle est très connue en Russie et à l’Est en général est motivée par la fiabilité de ses annonces.Par contre ,Black -out complet en Occident sur elle et pour cause!Elle est morte le 11 aout 1996, …Elle avait annoncé un président noir pour les USA qui succéderait à Bush, qui serait le dernier, car ce pays disparaitrait….
Toutefois , il y aura un après, nous verrons plus clair en 2015.
Pouvez-vous svp nous fournir un lien où cette dame prédit le futur président noir pour les USA? Vu sa célébrité, il doit bien y avoir un article de journal de l’époque.
J’ai beau chercher, je ne trouve pas (sauf des « prédictions » qui sont reportées après l’élection d’Obama).
Réponse à la question de Moi,
A ma connaissance le lien le plus sérieux en Occident qui conduise à Baba Vanga est le CERPI
Centre d’études et de recherches sur les phénomènes inexpliqués.
161, Chaussée d ‘Enghien
7060 Soignes BELGIQUE.
Email: mvb.webmaster @skynet.be
ou contacter l ‘Ambassade de Bulgarie, car les autorités Bulgares ont un grand respect à son égard.
Pas de « Le temps qu’il fait » le 20 novembre?