Dans Liens Socio, un compte-rendu de Le prix
Cet ouvrage est original à plus d’un titre. Il est emblématique de ce qu’il est convenu d’appeler la « socio-économie » dont les travaux cherchent à étudier les problèmes économiques (richesse, production, travail …) sans négliger le contexte social et historique dans lesquels ils apparaissent et se développent. On peut d’ailleurs saluer la collection qui abrite le livre de Paul Jorion et s’inscrit dans ce cadre : « dynamiques socio-économiques ».
Mais l’originalité n’est pas tant dans l’ancrage théorique de l’œuvre que dans la personnalité de l’auteur : Paul Jorion est un chercheur difficile à classer car il a de nombreux centres d’intérêts et qu’il a également une expérience professionnelle très riche. Ainsi dans Le Prix le lecteur passera de manière très cohérente et structurée dans plusieurs univers : la philosophie économique, la pêche ou les marchés financiers. Le fil conducteur de l’ouvrage est un retour sur une des questions les plus fondamentales de l’économie politique : comment se forme le prix dans un mécanisme d’échange.
La suite se trouve ici.
40 réponses à “UN COMPTE-RENDU DE « LE PRIX » PAR GUILLAUME ARNOULD”
je lis dans ce comtpe rendu : »le texte de référence de l’ouvrage est un passage de L’Ethique à Nicomaque où le philosophe montre qu’on ne vend pas au même prix un bien identique à deux individus de statut différent. »
Ceci est la preuve flagrante qu’il n’y avait de supermarché à l’époque d’aristote.
héhéhé 🙂
Et ça, c’est’y pas du supermarché ?
Y’avait même les slogans publicitaires :
Aristotle, La tête de gondole.
A Fab Il
En termes de slogans publicitaires actuels Aristote était un faciste..n’est ce pas?… et Jésus Christ un mal baisé. Il est dommage que l’Histoire jusqu’à Sarkozy ou Madame Royal soit à quelques exceptions prêts qu’une longue liste de fascistes.
k abouli,
Aristote un fasciste : voyez ça avec Paul Jorion ou PSdJ, ou Rousseau Jean-Jacques : Du contrat social, Chapitre 1.4 De l’esclavage, par exemple).
Jésus Christ un mal baisé : ?
C’est ce qui fait la force de la « grande distribution ». (le jour où ils distribuent dans le sens stricte du terme, prévenez-moi.)
C’est intéressant car dans le cas des pêcheurs, les entrants sont égaux pour chaque pêcheurs.
On supprime donc l’influence de l’approvisionnement.
Ne reste que l’aspect vente sur simplement des quantités variables.
Soit, la personnalité du vendeur face à des situations différentes.
Et si nous nous mettions une fois pour toutes d’accord sur la définition du mot fascisme ?
Brown Gordon, Schwarzi Arnold, et Berlusconi Silvio nous ont parlé de la nécessité d’un « fascisme corporatif de type Mussolinien » comme option de sortie de crise…..
Voilà qui devrait orienter nos recherches pour une définition « moderne » de ce terme employé à toutes les sauces.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fascisme
Je ne voudrais pas créer une polémique, comme d’habitude, mais…
Si certains se sont faits abuser par jésus christ, il vaudrait mieux qu’ils saisissent un juge et préviennent la SEC pour montage Ponzi suspecté.
En effet, la multiplication des poissons et du pain entre de plein droit dans l’absence notable d’opérations visant à la pérennité du capital des personnes ayant placé leur confiance dans un opérateur afin que ce dernier leur assure le gain définit contractuellement.
(article Volker 6.5 alinéa 3 de la bible du nouveau financement)
Je sors en courant du temple.. avant de m’en faire chasser. 🙂
@ Fab
Il me semble que K abouli a écrit au début de sa phrase: « En termes de slogans publicitaires actuels » (c’est étrange la quantité de gens qu’il y a par ici qui lisent les phrases à moitié – et de commentateurs de commentateurs qui ne la lisent pas du tout !)
@ Yvan
Si je comprends bien c’est le Christ qui a inventé les subprimes avec la multiplication des 5 pains et des 2 poissons… 😉
@ Fab
Vous ne répondez pas sur le fond cependant.
Ma p’tite remarque avait pour but de faire avancer cette idée que c’est une drôle d’idée d’évaluer le présent à partir d’une philosophie du passé .
Signe des temps, les vieux penseurs redeviennent à la mode .Pour certains, la référence à Aristote est là pour marquer un certain niveau d’instruction (disons le tout net : snobisme) , pour d’autres …
http://www.laprovence.com/article/region/alpilles-il-soigne-et-guerit-grace-a-la-philosophie
Le retour des philosophies perdues :tant mieux , pourquoi pas , après tout …si on garde à l’esprit que certaines nouveautés ont forcément dûes échapper à ces ancêtres.
Quand à l’évocation de Jésus , celui-ci dépasse le modèle des penseurs pour être en Vérité le meilleur des panseurs , n’en déplaise à Yvan le terrible 😉
Presque, Pablo. Presque.
Car le subprime a utilisé pour construire ses dossiers le « thin file ».
Soit, on prend des immigrés qui viennent d’arriver dans le pays et n’ont donc pas de défaut de paiement et une activité financière restreinte. (dossier léger)
Les organismes de crédit n’ayant pas de temps pour éplucher correctement les dossiers, les plus « fins » sont donc les plus « fiables ».
Et donc, on leur accorde un crédit sans hésiter.
« Aux innocents les mains pleines ». 🙂
Pour Jésus j’ai voulu souligner qu’un homme vierge à 33 ans était trop suspect pour le supermarché des idées actuelles. Du temps d’Aristote il faut bien expliquer que l’esclavage ne les a pas empêchés d’établir une très belle civilisation que l’on peut admirer encore de diverses manières. L’Acropole du moins de l’avis général reste un magnifique momument bien qu’il fut le résultat d’une civilisation esclavagiste.
« belle civilisation » ?
Tout dépend du point de vue ….
J’imagine que du côté des esclaves , ce n’est point la beauté des monuments qui touchaient les êtres, mais plutôt le « raffinement » des supplices .
Le type dont Yvan se fout la gueule a eut un courage extraordinaire : celui de s’opposer à des brutes épaisses par autre chose que la violence .
Faire référence à Aristote , c’est aussi prendre le risque de la connivence avec une culture passée qui avait le mépris de l’humain .Un mépris raisonné , avec ses grands penseurs et ses extraordinaires préjugés .A travers cette philosophie là, Il y a possibilité d’enrichissement intellectuel mais il n’est pas négligeable dans connaitre les limites.
Car il s’agissait d’une « barbarie organisée » mieux que d’une » civilisation » , mais bon, là encore , ce n’est qu’un point de vue.
béber le cancre,
J’ai répondu sur le fond : de commerce. Je suis tout d’accord avec vous. Merci pour le lien.
Bonne journée
k abouli,
Méfiez-vous des apparences : selon certains Jésus aurait eu au moins une femme et des enfants. Pensez à la Marie-Madeleine.
Bonjour,
En définitive, tout dépend de la relation du prix avec l’usage qu’il sera fait de l’achat.
Il faut tenir compte de la dépréciation du bien acheté dans le temps, de sa pérennité, du plaisir qu’il donne (jouets), du prestige qu’il apporte (voiture), de sa rareté (or, terre rares), de l’investissement dans le futur (tableau), du risque de sur-payement
A la question de savoir quel prix maximum serait payé pour un litre de pétrole, la réponse a été très différente de personne à personne.
Une réflexion entendue par un vendeur d’un secteur « il faut être riche pour vouloir tout à bon marché », m’avait beaucoup amusé.
Acheté à prix fixes, sans discussion, comme dans les magasins ou, par jeu, à prix surfaits demandant marchandages dans les souks.
Qu’y aurai-il d’autre, de plus facile à l’emploi que ce paradigme de l’économie néo-classique, puisque Argould semble dire que cela n’a pas été assez traité.
Je vais le lire ce bouquin. Merci à lui, de donner l’envie de lire.
« Une réflexion entendue par un vendeur d’un secteur « il faut être riche pour vouloir tout à bon marché », m’avait beaucoup amusé. »
Si vous aviez quelques connaissances économiques, vous sauriez que lorsque vous travaillez pour une société américaine, vous êtes pris pour un riche, soit, les commerciaux vous proposent des prix exorbitants.
Mais bon… tout le monde PENSE s’y connaître en économie, puisqu’il a de l’argent dans sa poche.
« tout le monde PENSE s’y connaître en économie, puisqu’il a de l’argent dans sa poche. »
On pratique TOUS une forme d’économie . Votre réflexion est très intéressante dans le sens où elle évoque la possibilité dans l’avenir d’un génie du niveau de Freud , qui comme tout fut expliqué à partir du sexe, pourrait tout expliquer de la nature humaine à partir de …l’économie .
Mon père entrepreneur et petit business man disiait il y trente ans: Si, le client est roi (c’est un expression en pays-bas), moi je doit être empéreur.
Pourquoi mon père disiais ça?
Autrement tu te fait boufé dans un context politico-économique veut que tu fait du profit, c’est si simple que ça.
Profit/croissance: prendre plus qu’on a investi.
Quand on est jeune c’est nécessaire pour grandir, la challenge après c’est trouver l’équilibre.
Conclusion: on a du mal de devenir adult. 😉
Très important le livre « le prix » a des résources énorme!!!
Mais est qu’on voit nous même et notre propre contribution dans ce context?
On a probablement tous un certain quantité de culpabilité. Aujourd’hui par inconscience on fait exploité cette culpabilité: exploité « par les autres ». (ou on exploité les autre et en réalite on combine les deux)
L’église catholique a fait au moyen age et le monde financier fait aujourd’hui. Si on commence à voir qu’il existe que cette culpabilité à notre intérieur, ça donne paradoxalement un clé libérateur de ne se pas faire exploité par « les autres » mais de contribuer au société.
Peter.
Pour quel type d’entreprise..??
Car si c’est pour du négoce, les achats sont ENCORE plus cruciaux. Il faut faire mieux que les autres.
@ Yvan,
L’entreprise de la vie. Mais biens sur c’est du blabla facile.
Si on reste accroché au « prix » sans regarder plus loin on tue nous même, lentement mais sûrement.
Si on intègre vivre, entreprendre, in(ter)dépendance, participer et partage et à leur service une comptabilité (le soi disant prix.) Le prix va perdre un peut de son importance que l’intellectuel en nous donne aujourd’hui au prix. Le prix comme outil au service de la société et n’est pas comme un but en soi comme dieu, argent, politique, science, moi, toi.
L’isolation (de prix, dieu etc.) faisions nous perdre le contact avec l’intégralité de nos actions.
Yvan j’espère c’est un peut compréhensible, parce que je me réalise très bien notre accrochement au prix. Je suis dans le même bateau et il y même des très bonne chose concernant « le prix » nous pouvons continuer d’utiliser demain!!!!
La vie n’est pas le profit, la croissance, d’être vainqueur etc., nous savons tous même les pires UMPists et socialistes, mais le matrix politico-économique est aujourd’hui encore tissu par notre propre croyance bureaucratique.
O manque juste de la confiance en nous (c’est aussi « l’autre ») qui nous tenons capter dans l’étoile d’araignée de la vie.
Paut cette raison on contunue de checher surtout une sortie façon parler intelectuelle et sans tentation d’intégration ça ne va pas marché. Parce que cette monde intelectuelle veut plus au moins imposé ça soi disant « solution ». Le « fascisme » de l’idéale.
Adam Smith et Karl Marx on dit (écrit) des choses incroyablement important.
Mais si on les impose, ils vont perdre tout leur force innitiale. On doit petit à petit aprendre à partir de notre propre intérier sur tour les niveau de la société.
Ca deviens que possible si on partage plus ou moins tous des certain valeurs (prix 😉 ) à la base. Sur ce point tout est là, tout était déja centaines fois écrits, la seul chose, on n’a pas mis en pratique dans notre vie quotidienne.
C’est parfaitement compréhensible et nous nous rejoignons.
Depuis que « la vie a un prix », nous ne nous appartenons plus.
J’adore ta sens de résumé. Trop fort!
A propos des livres, des prix littéraires et de la consécration des auteurs, une information, certes mineure mais néanmoins instructive, est parue ce jour dans la revue Livres Hebdo :
« Jacques Attali récompensé aux Etats-Unis.
L’économiste et écrivain recevra le prix Woodrow Wilson en avril 2011.
Avec Bernard Arnault, président de LVMH, Jacques Attali sera le premier Français à recevoir le prix Woodrow Wilson, décerné par la Smithsonian Institution à des personnalités investies dans le dialogue et l’ouverture aux autres.
L’économiste et écrivain sera distingué pour son engagement dans le service public et recevra sa récompense à Washington, le 7 avril2011. David Rubenstein, directeur général du groupe Carlyle, présidera le dîner de gala de remise des prix en présence de Tony Blair et du chanteur Bono. »
Marlowe assure qu’il n’a rien inventé et connaissant bien la très libérale revue Livres Hebdo, il peut garantir qu’il n’ y a dans cet article aucune intention ironique.
Ah, la bande à Bono …
CEci dit, voila un beau sujet empirique pour qui voudra : départager Jorion-Aristote vs. Friedman_of_Freshwater-Minc_of_France en étudiant la loi de l’offre et de la demande dans un cas où les données sont très accessibles (en principe) : e-bay.
La personnalité / rareté du vendeur/acheteur doit bine transparaitre sur ebay par quelque indicateur… y’aurait plus qu’à …
Récompenses accordées à qui par qui et selon quels critères ?
La Légion d’Honneur, attribuée à la demande d’un puissant, honorable ou pas, à l’un de ses amis, honorable ou pas, est-elle toujours un gage d’honorablité ?
Cela me rappelle le sort fait à leurs médailles du travail par une dizaine d’employés du FISC, après que l’un des leurs ait subi des pressions de sa hiérarchie pour lui faire annuler le redressement fiscal d’un gros entrepreneur local fraudeur et que l’employé consciencieux se soit retrouvé injustement sanctionné : ses collègues avaient apporté leurs médailles pour faire, pendant la pause du déjeuner, une partie de palets sur le dallage en marbre du grand hall d’entrée .
Récompenses et prix , médailles en chocolat ou pas, attribuées à qui, par qui, et selon quels critères, n’ont que la valeur qu’on veut bien leur accoder . Elles servent au moins de prétexte à un bon repas et à remplir quelques colonnes des quotidiens.
Qu’y avait-il de pas catholique dans ce rappel sur Wilson trouvé sur Wikipédia.
Vous avez des actions à la FED ou chez Carlyle !!!!!!!
Il faut alors censurer aussi Marlow wikipédia et « livre hebdo » .
Parfois vous méprisez gravement les capacités de réflexion et de synthèse de vos lecteurs !
Allez modifier la fiche de Woodrow Wilson si elle ne vous convainc pas, vous en seriez plus honoré…… /.((
» Paul Jorion est un chercheur difficile à classer car il a de nombreux centres d’intérêts et qu’il a également une expérience professionnelle très riche. »
Voilà la tare originelle : Paul n’est pas classable ! Du moins pour beaucoup de crânes d’oeufs qui nous gouvernent. Il n’a donc pas de valeur à leurs yeux et ses opinions ont donc du mal à être relayées. CQFD : la valeur relative de Paul n’est pas observable depuis ces crânes d’oeufs mais bien du nôtre, la masse !
Merci Paul, vous êtes donc notre richesse.
Mais ça va avoir un coût 🙂
cela n’a pas de prix .mais l’issue prévue a de quoi faire peur
Bonjour à tous
Commencer un compte rendu par l’énoncé d’une difficulté de classement est intéressant.
Comme si la classe dans laquelle on peut ranger l’auteur serait déjà un critère majeur quant à la pertinence de l’ouvrage… (le: D’où parlez vous? de Barthes ? )
Les compliments du critique portent davantage sur l’érudition, la forme et le traitement pluridisciplinaire du sujet que sur la pertinence économique du propos. D’ailleurs il finit par reprocher à l’ouvrage de ne pas aborder les nouvelles approches économiques en cours d’élaboration. Reproches qui semblent pouvoir découler de l’impossibilité pour lui d’appréhender le sujet par la même multiplicité de champs de connaissance que Paul , du fait de son hyper -spécialisation.
S’il peut être rassurant pour ce genre d’esprit de pouvoir de prime abord étiqueter , classer , bien propre en ordre dans le meuble à tiroirs normés, alors nommons une nouvelle classe de chercheurs: les polydoxes , ou pourquoi pas les mirandoliens…. en hommage au pic du même nom.
Voilà qui rassurerait les taxonomistes. Ils pourraient alors commencer leur compte rendu par une affirmation positive et celà pourrait donner:
« …Paul Jorion est un chercheur facile à classer: c’est un polydoxe, un mirandolien…. »
Cordialement.
Justement vu, Steve.
Le fait est que l’esprit humain aime classer, soit mettre une étiquette, afin de devoir moins réfléchir.
On le voit tous les jours en base de données.
Ainsi vaut-il mieux être généraliste que trop spécialiste, puisque la qualité de l’œuvre est reconnue.
Et, mieux encore, réussir à regrouper des spécialiste pour travailler sur un même sujet.
Mais là, pour avoir pratiqué, je vous jure que c’est musclé…
Et c’est ce qui se fait actuellement tuer en France, les passerelles entre chercheurs…
« Commencer un compte rendu par l’énoncé d’une difficulté de classement est intéressant. »
Tout dépend l’intention de l’auteur . Plutôt qu’ une maniaque volonté de classification, Il semblerait plutôt que celui ci est voulu attisé l’intérêt en mettant en valeur l’originalité .
C’est exactement ce que je voulais dire. Paul est parfaitement classable : il est tout simplement intelligent et ouvert. Il a d’ailleurs une spécialité rare : la capacité de synthèse de domaines très éloignés. Hétérodoxe, dites-vous ? OK, je prends. Vive les généralistes hétérodoxes.
ce que j’en comprends, peut-être à tort, c’est que le prix et le résultat d’un rapport de force.
La loi de l’offre et la demande n’étant en fait qu’une version « simplifiée » de ce rapport de force, dans le cas particulier d’un rapport équivalent, par exemple entre personnes d’une même couche sociale.
Vous n’avez pas tort : c’est ce que j’ai voulu dire.
@Paul Jorion :
j’ai enfin compris pourquoi Jducac , s’il est fervent lecteur de l’angevin Jean Bodin , ne peut être complètement d’accord avec vous ( c’est un euphémisme ) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_quantitative_de_la_monnaie
Paul,
a la différence que vous ne l’avez pas « dit » comme moi, vous l’avez prouvé, sinon un livre aurait été superfétatoire. C’est ce qui donne tant de valeur à votre travail.
une petite illustration trouvée là (à la fin) :
http://lexiconangel.blogspot.com/2010/12/all-gods-dangers-life-of-nate-shaw.html
La seule valeur concrète qui leur reste : leur suprématie militaire. Par conséquent, un conflit majeur devrait leur permettre de rebattre les cartes en leur faveur.
Avec quel « argent » ?
[…] la loi de l’offre et la demande est une chimère. Paul Jorion l’a prouvé. Le prix se fixe selon un rapport de force. La loi de l’offre et la demande n’étant […]