Pour janvier 2010 : 2 378 €
Pour février : 2 616 €
Pour mars : 2 352 €
Merci pour vos donations en mai ! Objectif 2 000 € atteint : 2 018 €.
Somme (brute) reçue à ce jour (21) pour mai : 2 018 €.
Encore un mois bien occupé, comme vous le verrez.
Dans l’audio-visuel, en sus de mes chroniques hebdomadaires sur BFM Radio, le 12, le 19 et le 26 avril, je suis passé
le 3 avril à « Les mots pour le dire », sur Europe 1 ;
le 6 avril, sur France Inter, dans l’émission « Le téléphone sonne » ;
le 11 avril, sur la Chaîne Parlementaire (LCP) en compagnie de Philippe Askenazy et Patrick Devedjian ;
le 15 avril, aux « Matins » de France Culture ;
le 21 avril, dans deux émissions différentes de Radio Canada : Désautels et RDI Économie.
Dans la presse écrite, ma chronique mensuelle dans Le Monde-Économie a paru le 5 avril sous le titre : « Le fil rouge » ;
le 17 avril, mon débat avec Jean-Hervé Lorenzi sur « À quoi servent les économistes ? » a paru dans Libération et enfin
le 29 avril, mon entretien dans Le Point, intitulé : « L’Europe n’a pas droit à l’erreur ».
Enfin, j’ai parlé au Club Condorcet à Paris, le 14 avril ;
le 15 avril, à Sciences Po, toujours à Paris ;
le 19 avril, au Club Galiléo-Concept à Lyon ;
le 21 avril, au SECOR à Montréal, et
le 22 avril à Focus 2010, toujours à Montréal.
Grosse déconvenue dans le top Wikio où Le blog de Paul Jorion était premier pour l’économie, depuis plusieurs mois : nous avons été détrônés par 1) Marketing en Chine, 2) (Quiet Glover) remarkable advertising, 3) Le publigeekaire LE MONDE CHANGE, LA PUB AUSSI. Sic transit gloria mundi ! Mais la fréquentation se tient bien, comme vous le verrez tout à l’heure.
PS (le 5 mai) : nous sommes redevenus No 1 pour l’économie sur Wikio ! Sic comes back gloria mundi !
Merci à Julien Alexandre et François Leclerc qui, en me soutenant sur le plan logistique, m’ont permis qu’en plus de ce que vous trouverez mentionné dans la liste ci-dessous, j’aie pu écrire mes billets !
@Juillot Pierre Est il normal que des personnes qui bossent vraiment sans compter leurs heures aux cul des vaches ou…