Auteur/autrice : François Leclerc

  • ADIEU ET À DEMAIN ! par François Leclerc

    Billet invité. Ouvert aux commentaires. Je ne savais pas dans quoi je m’étais engagé, il y a neuf ans, lorsque je me décidais, après avoir hésité, à « poster » un commentaire sur le blog d’un certain Paul Jorion, qu’un entrefilet dans Le Monde avait signalé à mon intention pour avoir démonté le mécanisme des subprimes, une…

  • LES BANQUES CENTRALES DÉSACCORDÉES, par François Leclerc

    Billet invité. « Quand Pierre Fresnay, Charles Trenet et Sophie Desmarets ! » : le couplet est ancien mais rend bien compte des attitudes de la Fed, de la BCE et de la Banque d’Angleterre, ainsi que de celle du Japon, dont le moins que l’on puisse dire est qu’elles ne convergent pas.

  • L’UNION EUROPÉENNE PETITE MAIN, par François Leclerc

    Billet invité. Le bouclage du budget de l’Union européenne se présente comme un exercice de haut vol. Non seulement en raison du départ du Royaume-Uni et de la disparition de sa contribution qui l’accompagne, mais à cause des priorités qu’il va falloir financer.

  • LE CIRQUE EUROPÉEN EST REPARTI, par François Leclerc

    Billet invité. « Pendant les travaux, les ventes continuent à l’intérieur ! », l’annonce vaut pour le sujet le plus austère du moment, les discussions franco-allemandes destinées à mettre au point un compromis à propos de la restructuration et de la relance européenne.

  • LES TROIS BOULETS QUE TRAÎNE L’EUROPE, par François Leclerc

    Billet invité. Les pays européens continuent de traîner trois boulets sans savoir comment s’en débarrasser. Le nœud Gordien entre les bilans des banques et la dette publique, la masse des prêts non performants (NPL), et leur endettement.

  • LES MOYENS DE SES AMBITIONS, par François Leclerc

    Billet invité. Luis de Guindos, ministre des finances de Mariano Rajoy et ancien collaborateur de Goldman Sachs, va être le premier à occuper un des nombreux sièges européens prochainement vacants, la vice-présidence de la BCE. Le petit monde européen bruisse déjà de rumeurs sur les nominations qui vont suivre, faites d’équilibres géopolitiques savants. Les deux…

  • LES DÉPOSSÉDÉS DE L’INTERNET DES OBJETS, par François Leclerc

    Billet invité. L’un ne va pas sans l’autre : le monde des « big datas » (les gigantesques bases de données), et pour l’alimenter l’Internet des objets, dont l’acronyme anglais qui s’est imposé est IoT. Grâce à l’IoT et aux algorithmes qui vont s’en donner à cœur joie dans les bases de données, notre traçabilité s’annonce globale,…

  • C’EST AU TOUR DE L’ITALIE ! par François Leclerc

    Billet invité. Avec les élections italiennes qui s’approchent, un autre casse-tête politique européen s’annonce. Aucun des partis ou des coalitions qui se présentent ne pourraient prétendre à la majorité, selon les derniers sondages autorisés par la loi à être rendus publics.

  • UN PETIT TOUR S’IMPOSE DANS LA CUISINE FINANCIÈRE par François Leclerc

    Billt invité. Un petit coup de pouce aurait été donné la semaine dernière à l’indice VIX, qui mesure la volatilité sur le marché boursier, selon un lanceur d’alerte anonyme. Pour en faire profiter leurs transactions, des spéculateurs auraient fait monter l’indice en se servant d’algorithmes pour passer, sans les honorer, des ordres sur des options…

  • LA FUITE EN AVANT BUDGÉTAIRE DE TRUMP, par François Leclerc

    Billet invité. En continuant d’augmenter les dépenses publiques tout en diminuant les recettes de L’État avec sa réforme fiscale, Donald Trump rend l’équation budgétaire de plus en plus difficile à résoudre.

  • ALLEMAGNE : LE CRÉPUSCULE DES DIEUX, par François Leclerc

    Billet invité. Où va la crise politique allemande ? Elle s’amplifie au sein du SPD et se creuse à la CDU. Les sondages d’opinion en rendent compte : le SPD continue à descendre à 16,5%, désormais à 1,5% de l’AfD, un écart à l’intérieur de la marge d’erreur. Le score de la CDU passe pour…

  • UN PETIT COIN DE CIEL BLEU EUROPÉEN, par François Leclerc

    Billet invité. La grande insatisfaction qui s’est instaurée au sein du SPD et de la CDU-CSU augure mal d’une suite paisible pour la vie politique allemande, ainsi que pour le rétablissement de l’Europe.

  • LA DETTE US, DE TOUT SON POIDS, par François Leclerc

    Billet invité. En fait de banales corrections et turbulences, le système financier a connu toute cette semaine passée une sérieuse secousse prolongée. En faisant preuve de prudence, les banques centrales avaient anticipé que leur « tapering » (la réduction de leurs programmes non-conventionnels) n’allait pas se dérouler sans mal, et elles sont servies.

  • UN ACCORD DE GOUVERNEMENT MAL AIMÉ, par François Leclerc

    Billet invité. Les temps ne sont plus ce qu’ils étaient. L’accord intervenu entre la CDU/CDS et le SPD suscite plus de polémiques que de liesse des deux côtés. À tel point que le quotidien Süddeutschezeitung s’est interrogé : serait-il entériné par les membres du CDU s’ils devaient voter comme au SPD ?

  • ALLEMAGNE, QUELS JEUX SONT FAITS ? par François Leclerc

    Billet invité. La première impression passée, les adhérents du SPD vont-ils avaliser l’accord signé par leurs dirigeants ? Qu’est-ce qui va l’emporter dans leur esprit ? La nomination de ceux-ci à trois postes ministériels-clé, ou le contenu de l’accord qu’ils ont signé ? Sur quoi va porter le référendum au moment de voter, la composition…