Sur un boulevard parisien, je suis à la terrasse d’un café, parce qu’il fait trop chaud à l’intérieur.
La pollution me fait pleurer, tousser. Dans un tel brouillard de particules fines et de pestilence de vapeurs diesel, je me reproche amèrement de compromettre à ce point ma santé.
Quand vient s’installer à la table qui me fait face, un couple dans la trentaine et son jovial bébé dans sa poussette, qui ne tarde pas à me gratifier d’infatigables risettes. La maman s’apercevant de son manège, se tourne à un moment vers moi qui, désarçonné par le bonheur qui illumine son visage, au lieu de l’agonir du « Criminels qui élevez un enfant dans un pareil environnement ! », que je fulmine intérieurement, lui retourne lâchement son sourire !
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…