Billet invité
Note de l’auteur :
Alors que je rassemblais sous ce billet l’ensemble des informations relatives au réchauffement climatique, voilà que l’actualité s’est soudainement assombrie avec l’annonce du bilan toujours provisoire suite au passage sur la Côte d’Azur d’une tempête exceptionnelle dans la nuit de samedi à dimanche [1], un bilan malheureusement aggravé par la très grande fragilité de nos sociétés dites organisées… c’est pourquoi ce billet est avant tout dédié aux victimes de cette catastrophe naturelle.
El Niño 2015-2016 – Image SSEC Google largement diffusée/tweetée sur le Net le 03/09/2015
Extrait de la déclaration des chefs d’État et de gouvernement, Sommet du G7, 7-8 juin 2015, Château d’Elmau en Allemagne [2] :
« […] compte tenu des dernières conclusions du GIEC, nous affirmons qu’une diminution importante des émissions mondiales de gaz à effet de serre, accompagnée d’une décarbonation de l’économie mondiale, est nécessaire au cours de ce siècle. En conséquence, nous soutenons une vision commune qui devrait se traduire par un objectif mondial de réduction, d’ici 2050, par l’ensemble des parties à la Convention-cadre sur les changements climatiques, des émissions mondiales de gaz à effet de serre correspondant au haut de la fourchette de la dernière recommandation du GIEC, laquelle se situe entre 40 et 70 % par rapport à 2010, reconnaissant que ce défi ne peut être relevé que dans le cadre d’une réponse mondiale. Nous nous engageons à faire notre part pour parvenir à une économie mondiale sobre en carbone à long terme, notamment en développant et déployant des technologies innovantes, en nous efforçant de transformer les secteurs énergétiques d’ici 2050 et nous invitons tous les pays à se joindre à nous dans cet effort. À cet effet, nous nous engageons également à mettre au point des stratégies nationales à long terme sobres en carbone. »
Dont acte !
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L’effet papillon aviez-vous dit monsieur Lorenz [3] ? Un jour prochain, peut-être, une Humanité bien plus sage et évoluée que la nôtre enseignera sans doute à sa progéniture nos erreurs du passé afin qu’elles ne puissent plus jamais être reproduites. Parmi ces erreurs, il y aura certainement notre inconscience collective face à la propriété sous toutes ses formes. Cette propriété des biens mobiliers ou immobiliers d’abord, qui augmente outrageusement notre empreinte écologique individuelle, nous obligeant à consommer aujourd’hui plus d’une planète et demi par an [3] et à ne laisser derrière nous que des montagnes/continents de déchets [4] gravement exposés à la décomposition, voire à la dénitrification. C’est ainsi que nous avons su sacrifier en quelques décennies notre terre, notre air et notre eau [5]. Cette propriété intellectuelle ensuite, qui entrave sournoisement non seulement la libre circulation de l’information quelle qu’elle soit, mais aussi l’émulation de l’Humanité connectée [6], nous privant ainsi cruellement de toute solution réaliste et viable. Nous étions déjà ignorants du fait de notre orgueil démesuré à vouloir tout contrôler, mais dans un contexte aussi délétère, nous le sommes bien plus encore que nous ne pourrons sans doute jamais l’imaginer…
Et alors que l’on nous ressasse un échantillon choisi de faits divers, on élude aussi dans le même temps ces vérités qui dérangent. Puis, lorsque des scandales comme celui des moteurs truqués de Volkswagen éclatent au grand jour, on fait mine d’être surpris et/ou on feint de découvrir le niveau infini de notre stupidité du fait de notre cupidité. Or le mal est fait et il y a fort à parier qu’il ne s’agit là que de la partie émergée de l’iceberg. Les enquêtes ouvertes un peu partout dans le monde, notamment en France « pour tromperie aggravée » [7], révéleront sans doute l’ampleur de cette escroquerie planétaire, voire de ce crime en bande organisée contre l’ensemble de la biosphère terrestre. En attendant, ce ne sont pas moins de 11 millions de véhicules qui sont concernés par le problème. De quoi émettre dès le début de la manipulation en 2009 [8], des quantités hors de tout contrôle de gaz à effet de serre tels que les oxydes d’azote (NOX), dont le protoxyde d’azote (N2O) présente un potentiel de réchauffement du gaz à effet de serre (PRG) de 296 après 100 ans passé dans l’atmosphère ; comparativement, le dioxyde de carbone (CO2) a un PRG de 1 après 100 ans passés dans l’atmosphère…
Les données de mesure concernant le mois d’août 2015 viennent d’être rendues publiques courant septembre par la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), par l’intermédiaire de son département National Centers for Environmental Information [9]. Sans surprise [10], ce mois d’août 2015 est déclaré le plus chaud parmi tous les mois d’août enregistrés depuis 1880, du fait notamment d’un nouveau record de l’anomalie de température moyenne des océans à +0,78°C, portant l’anomalie de température moyenne globale (continents + océans) de ce mois d’août à +0,88°C, le record de l’anomalie de température moyenne de l’hémisphère sud confirmant une nouvelle fois la tendance au réchauffement de cette région du monde du fait notamment de l’accentuation du phénomène El Niño en océan Pacifique ; nous y reviendrons. De plus, la consolidation des données de mesure sur la période allant de janvier à août 2015, semble bel et bien confirmer que l’année 2015 serait en passe de devenir l’année la plus chaude depuis 1880, avec une anomalie de température moyenne globale à +0,84°C [9], avec d’ores et déjà 5 mois / 8 qui se retrouvent gratifiés de la triste 1ère place, et 2 mois / 8 de la 2de place depuis 1880.
Or, nous en avions déjà parlé lors d’un précédent billet consacré essentiellement à la banquise antarctique [11], ce constat intervient alors même que l’activité solaire devient de plus en plus atone à l’approche de la fin du cycle 24. La NOAA, par l’intermédiaire de son département Space Weather Prediction Center [12], publiait le 8 septembre 2015 les derniers relevés propres au cycle solaire 24, qui se maintiennent nettement en dessous des prévisions pour le troisième mois consécutif, le cycle 24 étant l’un des plus faibles jamais enregistré depuis le cycle 16 des années 30 [13]. Malgré cela, point de répit pour l’anomalie de température moyenne globale qui continue de battre de nouveaux records…
Les conséquences de cette tendance au réchauffement sont de plus en plus marquées et semblent désormais vouloir s’inscrire une à une dans le marbre de notre Histoire, tant les phénomènes climatiques extrêmes peuvent être observés avec seulement quelques jours d’intervalle, dans de nombreuses régions du monde, provoquant sur leur passage de lourdes pertes en vies humaines du fait des inondations, ainsi que d’importants dégâts matériels. C’est le cas notamment du typhon Dujuan qui s’est abattu sur Taïwan en début de semaine dernière [14], ou encore de l’ouragan Joaquin qui a frappé le sud-est des Etats-Unis dès jeudi dernier [15], ou enfin de ce cyclone méditerranéen qui s’est d’abord formé en milieu de semaine dernière au large des côtes de la Sardaigne [16], pour ensuite remonter au large de la côte ouest de la Corse, touchant l’une après l’autre la Corse-du-Sud et la Haute-Corse [16], avant de s’abattre violemment dans la nuit de samedi à dimanche sur le sud-est de la région PACA, et notamment sur la Côte d’Azur [1].
Voici l’imagerie diffusée par Météo France de ce Médicane en approche de la région PACA :
Suite à la polémique de ses derniers jours, et au regard de cette seule imagerie, nous serions effectivement en droit de nous demander s’il n’aurait pas été plus sage de déclencher une alerte rouge sur un certain nombre de départements ?
Et comme si tous ces phénomènes climatiques extrêmes ne suffisaient pas, voici que certains scientifiques de la NOAA se disent maintenant inquiets de la présence en Atlantique nord d’une région où la tendance ne serait plus au réchauffement, mais plutôt au refroidissement [17], du fait notamment d’un ralentissement substantiel d’ores et déjà observé entre 2009 et 2010 de la branche sud du Gulf Stream. Ce ralentissement serait le résultat des dernières fontes d’été de la calotte glacière du Groenland, provoquant le déversement d’importantes quantités d’eau douce et froide dans cette partie de l’océan. Si ce ralentissement devait se poursuivre dans les prochaines années, ce qui semble bien être le cas du fait de l’accélération de la fonte du Groenland [18], alors cela aurait des conséquences sur le niveau de l’océan dans cette région du monde du fait des modifications de la circulation thermohaline et de la retenue des eaux chaudes bien plus au sud ; lors du ralentissement substantiel de 2009-2010, le niveau de l’océan atlantique a augmenté de près de 10 cm sur toute la côte est américaine [19]…
Sur cette carte de la NOAA correspondant à la consolidation des données de mesure sur la période allant de janvier à août 2015, la région froide de l’Atlantique nord y est très nette :
Autre phénomène tout aussi marqué cette année qui retient l’attention des scientifiques de la NOAA, c’est le courant pacifique El Niño toujours en cours de formation au large des côtes de l’Équateur et du Pérou, et qui se traduit par un changement brutal de la circulation atmosphérique entre l’équateur et les pôles. A ce stade des observations, il est probable à près de 95% que ce phénomène s’accentue puis se maintienne jusqu’à la fin du premier semestre 2016 [20]. L’anomalie de température de surface en El Niño 3.4, à savoir la région (5°N-5°S, 120°-170°W), est actuellement de +1,5°C, ce qui est d’ores et déjà un record sur ces 12 dernières années.
Source : NOAA Climate Prediction Center [20].
Rq. les anomalies de températures qui sont indiquées sur ces graphes correspondent à celles des eaux de surface des océans… notez y une fois encore la région froide très marquée de l’Atlantique nord qui corrobore notre précédente information relative aux craintes de ralentissement du Gulf Stream…
Et ce phénomène El Niño se produit régulièrement selon un cycle encore difficile à cerner.
Source : NOAA Climate Prediction Center [20].
Toutefois, il est encore trop tôt pour dire si le record de 1998 à +2,2°C sera battu ou non, même si la plupart des modèles de l’IRI (International Research Institute) montrent que l’anomalie de température de surface en El Niño 3.4 devrait encore croître bien au delà des +2°C d’ici le début d’année 2016 [20]. Si tel devait être le cas, il faudrait alors s’attendre à des conditions climatiques bien plus violentes qu’aujourd’hui d’ici au moins la fin du premier semestre 2016, avec également des conséquences sur l’ensemble de la cryosphère terrestre. Car il ne faut pas perdre de vue que le phénomène El Niño est avant tout un phénomène global qui, même s’il se produit en ce moment même au cœur de l’océan Pacifique, influencera encore le réchauffement cyclique de l’océan Atlantique jusqu’à la fin du premier semestre 2017… De plus, tous les ouragans les plus intenses jamais enregistrés se sont toujours produits après le franchissement d’un pic de l’anomalie de température de surface en El Niño 3.4, dont trois rien qu’en 2005 : Camille en 1969, Allen en 1980, Gilbert en 1988, Mitch en 1998, Ivan en 2004, Katrina, Rita et Wilma en 2005, Dean en 2007…
En attendant la validation des prévisions de l’IRI, l’existence même d’un tel phénomène se produisant au cœur de l’océan Pacifique, explique peut-être le comportement à la fois soudain et singulier de la banquise antarctique que nous avons pu observer cet été [11].
Source des données : NSIDC (National Snow and Ice Data Center) [21], graphes consolidés concernant uniquement les surfaces des océans avec au moins 15% de glace.
Comme nous le montrent les graphes consolidés ci-dessus, la surface globale des mers de glace (antarctique + arctique) accusait en cette fin d’été un déficit brutal de près de 2 millions de km² par rapport à la moyenne des mesures comprises entre 1981 et 2010 (soit environ 3 fois la superficie de la France), pour s’établir autour de 23 millions de km² et ainsi se placer dans le Top5 des années les plus marquées par les conséquences du réchauffement climatique, et notamment par la fonte de la banquise arctique depuis le début des mesures en 1979, à savoir dans l’ordre : 2007, 2008, 2015, 2011 et 2012. Entre février et août 2015, nous pouvons constater les conséquences du basculement brutal de la surface de banquise antarctique [11] venue se repositionner autour de la moyenne des mesures comprises entre 1981 et 2010 ; cette alerte devant être prise très au sérieux du fait de l’accentuation en cours du phénomène El Niño. Mais le plus frappant au regard de ces graphes reste sans doute la situation catastrophique de la banquise arctique qui ne parvient plus à se repositionner autour de la moyenne des mesures comprises entre 1981 et 2010, laissant même présager la triste conquête d’un nouveau record absolu de fonte sous les 2-3 années à venir… qu’en sera-t-il alors de la situation du Groenland qui, faut-il encore le rappeler, avait su nous alerter entre le 8 et 12 juillet 2012, à savoir la même année que celle du dernier record absolu de fonte de la banquise arctique enregistré le 17 septembre 2012 par le NSIDC [18] ?
Aussi, ne nous voilons pas la face. Il faut parfois savoir appeler un chat un chat ! La situation climatique actuelle n’était pas imprévisible. Cela fait maintenant plus de 10 ans que la communauté scientifique, climato-sceptiques mis à part, tire les sonnettes d’alarmes qui méritent, au regard de la situation catastrophique dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui, à l’approche de la COP21 qui se tiendra prochainement à Paris, d’être relayées par l’ensemble de la communauté internationale afin que toutes les mesures d’exception puissent être prises le plus rapidement possible. Nous devons bannir de notre langage toute forme d’euphémisme visant à dédramatiser la situation. Certaines informations certes exactes et rassurantes, comme la tendance à la diminution du trou dans la couche d’ozone qui se situe dans la stratosphère, risqueraient-elles ainsi d’être détournées afin de nous dédouaner de nos autres responsabilités ? Car s’il est vrai que la superficie de ce trou en hémisphère sud se maintient autour de 20 million de km², contre 26,6 million de km² en 2006, du fait notamment de nos efforts dans la réduction des concentrations en CFC résiduels dans l’atmosphère (ChloroFluoroCarbone), elle ne doit surtout pas nous faire oublier qu’elle n’était que de 100000 km² en 1970 [22]… C’est ce comportement de déni des réalités qui nous a d’ores et déjà fait perdre un temps précieux. La COP21 devra être l’occasion pour l’ensemble des chefs d’États de la communauté internationale de rejeter une bonne fois pour toute d’un revers de main toute forme de langue de bois…
C’est hier qu’il faut agir et non demain ! Puisse cette revue d’information y contribuer…
Nous devons encourager la France [23], organisatrice de la COP21, ses partenaires, mais aussi les États Unis et la Chine [24], à accentuer leurs efforts afin de montrer l’exemple qui devra être suivi par l’ensemble de la communauté internationale dès 2016, et ceci en espérant bien évidemment qu’il ne soit pas trop tard puisque dans le même temps, ce sont d’ores et déjà 850000 semences qui ont été stockées au sein du grenier de l’Humanité [25]…
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[1] EN IMAGES – Les inondations sur la Côte d’Azur, Europe 1 avec AFP, 04/10/2015 : http://www.europe1.fr/societe/en-images-les-impressionnantes-inondations-sur-la-cote-dazur-2524073
[2] Extrait de la déclaration des chefs d’État et de gouvernement, Sommet du G7, 7-8 juin 2015, Château d’Elmau en Allemagne : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/IMG/pdf/g7_-_declaration_des_chefs_d_etat_et_de_gouvernement_cle076f43.pdf
[4] EXPEDITION 7e CONTINENT, site officiel : http://www.septiemecontinent.com/
[7] Volkswagen : votre voiture est-elle truquée ?, Les Echos, 02/10/2015 : http://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/021374716317-volkswagen-votre-voiture-est-elle-truquee-1161742.php
[8] Affaire Volkswagen : 10 questions pour comprendre le « dieselgate », L’argus, 24/09/2015 : http://www.largus.fr/actualite-automobile/affaire-volkswagen-10-questions-pour-comprendre-le-dieselgate-6590389.html
[9] NOAA National Centers for Environmental Information, State of the Climate: Global Analysis for August 2015, published online September 2015, retrieved on October 4, 2015 from http://www.ncdc.noaa.gov/sotc/global/201508
[12] NOAA Space Weather Prediction Center, Sunspot Number Progression for August 2015, published online September 2015, retrieved on October 4, 2015 from http://www.swpc.noaa.gov/products/solar-cycle-progression
[13] Cycle solaire, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 21/09/2015 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cycle_solaire
[14] Le « super-typhon » Dujuan frappe Taïwan, des milliers de personnes évacuées, Le Monde avec AFP, 28/09/2015 : http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/09/28/le-super-typhon-dujuan-frappe-taiwan-des-milliers-de-personnes-evacuees_4775467_3244.html
[15] Pluies torrentielles et inondations dans le sud-est des Etats-Unis, Le Parisien avec AFP, 04/10/2015 : http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/pluies-torrentielles-et-inondations-dans-le-sud-est-des-etats-unis-04-10-2015-5154049.php
[16] VIDEO – Inondations en Sardaigne et en Corse, euronews, 02/10/2015 : http://fr.euronews.com/2015/10/02/inondations-en-sardaigne-et-en-corse/
[17] Chris Mooney, Why some scientists are worried about a surprisingly cold ‘blob’ in the North Atlantic ocean, The Washington Post, 24/09/2015 : http://www.washingtonpost.com/news/energy-environment/wp/2015/09/24/why-some-scientists-are-worried-about-a-cold-blob-in-the-north-atlantic-ocean/
[19] Chris Mooney, Everything you need to know about the surprisingly cold ‘bold’ in the North Atlantic ocean, The Washington Post, 30/09/2015 : https://www.washingtonpost.com/news/energy-environment/wp/2015/09/30/everything-you-need-to-know-about-the-cold-blob-in-the-north-atlantic-ocean/
[20] NOAA Climate Prediction Center, ENSO : Recent Evolution, Current Status and Predictions, published online October 2015, retrieved on October 5, 2015 from http://www.cpc.ncep.noaa.gov/products/analysis_monitoring/lanina/enso_evolution-status-fcsts-web.pdf
[21] Arctic Sea Ice Extent, NSIDC, 06/10/2015 : http://nsidc.org/arcticseaicenews/charctic-interactive-sea-ice-graph/
[22] Frédéric Mouchon, ANIMATION. Ecologie : la couche d’ozone va mieux, Le Parisien, 17/09/2015 : http://www.leparisien.fr/informations/la-couche-d-ozone-va-bien-merci-17-09-2015-5098861.php
[23] LOI n° 2015-1198 du 30 septembre 2015 autorisant l’approbation de l’accord entre le Gouvernement de la République française et le secrétariat de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques et son protocole de Kyoto concernant la vingt et unième session de la conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, la onzième session de la conférence des parties agissant comme réunion des parties au protocole de Kyoto et les sessions des organes subsidiaires (1), Legifrance, 01/10/2015 : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031251294&dateTexte=&categorieLien=id
[24] Valérie Volcovici, Jean-Stéphane Brosse pour le service français, Chine et USA préparent une déclaration commune sur le climat, L’OBS, 25/09/2015 : http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20150925.REU5557/chine-et-usa-preparent-une-declaration-commune-sur-le-climat.html
[25] Christophe Magdelaine, A quoi sert « le coffre-fort de l’apocalypse » construit en Arctique ?, notre-planete.info, 29/09/2015 : http://www.notre-planete.info/actualites/1580-inauguration_arche_noe_graines_coffre_fort_apocalypse
Merci Khanard, de m’avoir envoyé la liste. Que dire ? que dire ? 😀 1 – Il y a peut-être…