Billet invité
« Eh ! Quel est, en effet, j’en appelle à vos consciences, j’en appelle à vos sentiments à tous, quel est le grand péril de la situation actuelle ? L’ignorance ; l’ignorance plus encore que la misère… », Victor Hugo, Discours à l’Assemblée nationale (1848-1871), Séance du 11/11/1848 [1].
Ours brun de Syrie (Ursus arctos syriacus) – photo prise le 25/08/2015 – Parc zoologique du Lunaret de Montpellier, situé au coeur de l’espace naturel magnifique de La Valette [2] [3]
Rq. l’ours brun de Syrie est une sous-espèce protégée inscrite sur la Liste rouge de l’UICN [4] ainsi qu’à l’Annexe II de la convention CITES [5] et fait l’objet d’une étude ESB [6]…
Après tout, c’est vrai ! Pourquoi ne pourrions-nous pas évoquer les actes d’ignominie, voire de barbarie, dont est victime depuis des décennies l’ensemble de la biosphère terrestre dont nous faisons pourtant partie intégrante ? Aussi, puisque la majorité d’entre nous se dit choquée de constater l’hypocrisie grandissante dont font preuve certains États à l’égard des réfugiés quels qu’ils soient (climatiques, écologiques, économiques, politiques, etc.), pourquoi ne pourrions-nous pas nous dire choqués de constater l’hypocrisie tout aussi grandissante dont font preuve ces mêmes États, par exemple, à la suite de l’« assassinat » du lion Cecil dans le cadre d’une sordide partie de chasse qui se déroula au Zimbabwe le 1er juillet 2015 [7], ou encore, autre exemple, à la suite de la publication ces derniers jours du dernier rapport du WWF (World Wide Fund) qui nous alerte sur le fait que les populations de plus de 1200 espèces marines ont été réduites de moitié depuis 1970, cette baisse d’effectif pouvant même atteindre 75% dans certains cas [8] [9] ? Car une fois ces « scoops » passés, nous enchaînons avec d’autres sujets !
C’est tout de même étonnant cette capacité que nous avons en tant qu’espèce dotée d’une certaine forme d’« intelligence », de pouvoir éluder, voire nier pendant des décennies, l’évidence des mises en relation entre tel ou tel événement, et de pouvoir préférer dans le même temps le chronophage et suicidaire pseudo-débat politique, voire oligarchique, à notre capacité intuitive d’observation, de compréhension et de réaction, voire d’« aptitude à la survie » [10]. Ne serait-ce pas ici la preuve évidente que notre espèce, en tant que première espèce invasive de la biosphère terrestre, n’est plus en mesure de comprendre quoi que ce soit des déséquilibres propres aux écosystèmes qui l’entourent ? Ne serait-ce pas enfin la preuve évidente de notre incapacité à pouvoir proposer des solutions durables puisque nous n’avons su jusqu’à présent que dénier tout déséquilibre propre à notre existence ?
Ce billet ne peut avoir la vocation de répondre à lui seul à ces deux questions ô combien complexes, d’autant qu’il s’inscrit avant tout dans la continuité de notre précédent billet consacré quant à lui au BILAN CHIMIQUE [11]. Il peut toutefois poser les bases d’une réflexion indispensable, voire inévitable, au regard de l’actualité et de la situation catastrophique dans laquelle nous nous trouvons. Car en dépit des alertes parfaitement audibles ayant cours tout autour de nous depuis des décennies, force est de constater que l’Humanité ne change pour le moment ni de comportement, ni de cap ; Richard Strauss attribuait ce type de comportement à l’esprit de résignation lorsqu’il écrivit en 1946 les Métamorphoses [12]. Peut-être devrions-nous écouter et/ou réécouter cette musique, puis prendre le temps nécessaire à la réflexion, avant de pouvoir nous en inspirer ?
Requin léopard (Stegostoma fasciatum) – photo prise le 21/08/2015 – Seaquarium du Grau-du-Roi qui est pleinement engagé en faveur de la protection des requins [13] [14]
Rq. le requin léopard est une espèce menacée inscrite sur la Liste rouge de l’UICN [4]…
Le sombre bilan qui affecte l’ensemble des espèces marines et qui vient d’être publié par le WWF [8] [9] dans la continuité de son rapport de septembre 2014 qui concernait notamment l’Empreinte écologique de l’Humanité [15], montre à lui seul que nous brûlons/puisons/détruisons beaucoup plus de ressources naturelles que ce dont la biosphère terrestre est en mesure de régénérer chaque année. A ce stade, nous consommons chaque année l’équivalent d’une planète et demi… Dit autrement, la bio-capacité de la biosphère terrestre, c’est à dire sa capacité de régénération, devrait croître du jour au lendemain de 50% par rapport à son niveau de 1970 pour pouvoir supporter la demande annuelle actuelle de l’Humanité. Or nous le savons, ceci est tout simplement impossible, à moins que nous puissions trouver rapidement l’équivalent d’une demi Terre à portée de nos fusées, afin de pouvoir y déplacer plus de 30% de la population mondiale… Bref, c’est impossible, et au rythme où sont allées les choses depuis le basculement quantifiable de 1970 (empreinte écologique de l’Humanité >1), la biosphère terrestre n’a eu de cesse de s’appauvrir du fait notamment d’une bio-capacité elle-même de plus en plus sollicitée. Sommes nous d’ailleurs absolument certains de ne rien oublier dans ce type de modélisation et de maîtriser parfaitement l’ensemble des variables de mesure concernées ? Pas si sûr…
En attendant de le savoir, tout ceci ne fait que confirmer l’importance de la Liste rouge régulièrement mise à jour par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) dans laquelle plus de 22000 espèces parmi plus de 76000 espèces d’ores et déjà répertoriées, sont directement menacées d’extinction [4] sous l’effet des pressions inouïes provoquées par l’activité humaine, qu’il s’agisse notamment d’exploitation des ressources, de pollution des terres et/ou des eaux [11], de déforestation et/ou de culture intensive, d’introduction d’espèces invasives [16], etc. Et ces données sont aujourd’hui bien pires que toutes celles qui étaient d’ores et déjà communiquées par l’UICN dès 2012 [17]. Car outre la destruction croissante des habitats de la faune et de la flore, c’est surtout les prélèvements d’ores et déjà insoutenables dont sont responsables la plupart des États, qui inquiètent du fait notamment du braconnage et du trafic illégal des espèces. Rien qu’en Afrique, la population d’éléphants est passée de 550000 à 470000 spécimens uniquement sur la période 2006-2015, soit un déficit de 80000 « individus » en moins d’une décennie seulement [18] ; dans le même temps, l’Humanité a vu sa population croître de 6,5 à 7,3 milliards d’individus [19]. Et au rythme où vont les choses, si rien ne change d’ici là, l’anthropocène pourrait bien devenir l’ère géologique la plus courte que la Terre n’ait jamais connu…
Brâme d’un jeune cerf élaphe (Cervus elaphus) – photographie réalisée en 2014, en France, dans le Jura, en Forêt de Chaux – Landscape with deer © Xavier Rousseau
Rq. le cerf élaphe est une espèce protégée inscrite sur la Liste rouge de l’UICN [4]…
Car toutes les espèces sont concernées par ce qui semble bien être le début d’une extinction de masse qui touche aujourd’hui l’ensemble des continents et océans de la planète : les amphibiens, les champignons, les coraux, les mammifères, les plantes, les poissons, etc. C’est là que nous devrions faire preuve d’humilité et de sensibilité, tendre l’oreille et écouter les cris/signaux d’alerte de chacun des capteurs biologiques que la nature, dans sa grande générosité, a disséminé tout autour de nous. Or, c’est bel et bien notre ignorance de tous ces sujets qui nous a conduit au bord d’un gouffre que nous feignons de découvrir. Reste à savoir si dans notre torpeur collective nous allons pouvoir réagir ou bien nous laisser emporter par la « gravité » due à la masse cumulée de l’ensemble de nos perturbations anthropiques ?
Salamandre tachetée (Salamandra salamandra) – Mathieu Daval © CPEPESC-FC [20]
Rq. la salamandre tachetée est une espèce protégée inscrite sur la Liste rouge de l’UICN [4], et fait l’objet d’études, notamment en France au sein de la CPEPESC-FC [20] qui se charge aussi de la création de réserves naturelles…
À présent, posons-nous un moment, tendons l’oreille et écoutons. Car certains de ces capteurs biologiques sont pour le moins remarquables de sophistication. Les amphibiens par exemple, tels que les grenouilles, nous renvoient au moins deux informations importantes du fait de la perméabilité et de la sensibilité de leur peau : l’une sur les niveaux de concentration en produits toxiques dans l’eau, et l’autre sur l’intensité des radiations solaires de type UV-B (ultraviolets intermédiaires de longueur d’onde comprise entre 280 et 315 nm) ; pollution et radiation ne font vraisemblablement pas bon ménage au pays des amphibiens [21]. Dans le cas de la pollution des eaux, ce sont notamment nos usages intensifs de pesticides, tels que le DDT (dichlorodiphényltrichloroéthane), et d’herbicides, tels que le POEA (polyoxyéthylèneamine) alias Roundup, qui rendent ces espèces vulnérables. Dans le cas de l’exposition aux radiations de type UV-B, celle-ci peut se produire de deux manières différentes. D’une part nous avons le réchauffement climatique qui provoque localement des sécheresses faisant ainsi baisser le niveau des étangs et des cours d’eau servant habituellement de bouclier aux embryons des amphibiens contre ce type de rayonnement solaire. D’autre part nous avons l’amincissement de la couche d’ozone du fait notamment de nos émissions intensives d’aérosols, qui provoque l’extinction des espèces présentant l’activité enzymatique (de type photolyase) la plus faible ; la photolyase étant l’enzyme capable de réparer les dégâts qui sont causés par les UV-B sur l’ADN (acide désoxyribonucléique) des amphibiens.
Cette partie relative aux amphibiens n’est sans doute pas très exhaustive, mais elle a le mérite de nous fournir une indication quant à la complétude de l’échantillon de capteurs biologiques en présence duquel nous nous trouvons, et qui a été mis généreusement à notre disposition.
Nénuphar rose (Nymphaea fabiola) – photo prise le 26/07/2015 – Abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon
Aussi, qu’on se le dise sans ambages ! Aucun outil de supervision actuellement mis en ?uvre par l’Homme n’est en mesure de nous offrir une palette de variables de mesure aussi exhaustive que celle de Dame Nature… Bref, dit autrement, nous ne sommes pas Dieu [22] !
Et là, comme par hasard, tous ces capteurs biologiques sont intimement reliés les uns aux autres par le biais de ce qu’il est convenu d’appeler la chaîne alimentaire, cette couverture naturelle de supervision de notre écosystème complexe observé. Osons briser l’un des maillons de cette chaîne, et c’est tout un pan de notre biosphère terrestre qui s’écroule, pour ne pas dire l’écosystème tout entier. Or, dans le cas de notre exemple, les amphibiens adultes tout comme leurs progénitures, les têtards, constituent des éléments importants de la chaîne alimentaire. Maintenant, ramenons cela aux quelques 832 espèces connues mais d’ores et déjà éteintes à ce jour [4], et cela nous donne une petite idée de la situation pour le moins catastrophique dans laquelle nous nous trouvons.
En 1972, le météorologue Edward Lorenz donna à l’AAAS (American Association for the Advancement of Science) une conférence qui s’intitulait « Predictability : does the flap of a butterfly’s wings in Brazil set off a tornado in Texas ? » ; en français, « Prédictibilité : le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? » [23]. Lorenz sous-entend dès cette époque que le système climatique, qui n’est autre qu’un système complexe observé, est avant tout un système chaotique qui ne peut répondre qu’à un désordre apparent (chaos). Ainsi, le moindre petit changement dans les conditions initiales de ce désordre entraînerait obligatoirement de grands bouleversements au sein de ce système selon les résultats de l’expérience que Lorenz a pu réaliser depuis son modèle climatique simplifié.
Mais alors, pourquoi ne réagissons-nous pas ? Il se trouve que nous vivons dans un monde d’apprentis sorciers capables de toute sorte de théories aussi fumeuses que maladroites, mais leur permettant avant tout de préserver leurs propres intérêts. C’est ainsi que l’on nous parle de vaporisation, de dilution, de réhabilitation, de régénération, voire de mithridatisation, etc., sous-entendus aussi, bien évidemment : de simplification, de dérogation et de pollution [11] !
Dit autrement, voici l’ébauche de ce que pourrait être la « pire gabegie » d’une économie circulaire se disant soi-disant inspirée de notre écosystème naturel ; à écarter d’office :
– si nous émettons des gaz toxiques, alors grâce à la vaporisation, notre atmosphère se chargera d’une partie d’entre eux,
– si nous déversons des produits toxiques, alors grâce à la dilution, nos nappes phréatiques, nos cours d’eau, nos mers et nos océans se chargeront d’une partie d’entre eux,
– si nous appauvrissons des sites, alors grâce à la réhabilitation, nous replanterons, et enfin
– si nous détruisons des espèces, alors grâce à la régénération nous les élèverons…
Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) – Florent Billard © CPEPESC-FC [20]
Rq. le petit rhinolophe est une espèce protégée inscrite sur la Liste rouge de l’UICN [4], et fait l’objet d’études, notamment en France au sein de la CPEPESC-FC [20] qui se charge aussi de la création de réserves naturelles…
Il va donc nous falloir redoubler d’effort et de vigilance si nous voulons éviter l’entrée en vigueur en France, en Europe et dans le Monde, d’une telle gabegie, tout en sensibilisant l’ensemble de nos concitoyens autour de la seule solution viable : TOUT STOPPER [22] !
Les membres actifs des associations de protection de l’environnement, comme ceux notamment de la CPEPESC-FC (Commission de Protection des Eaux, du Patrimoine, de l’Environnement, du Sous-sol et des Chiroptères, de Franche-Comté) [20], le savent bien. En matière de protection de l’eau, les lois ne sont pas écrites pour instaurer une interdiction pure et simple de l’usage des produits toxiques ayant cours sur le marché. Ce serait trop beau ! Non, les lois sont écrites pour réprimer l’acte de pollution lui-même… Voilà pourquoi nous passons la majeure partie de notre temps à contrôler en aval la qualité de l’eau, plutôt qu’en amont les personnes physiques ou morales susceptibles de la polluer. En résumé, le législateur n’a que faire a priori du principe de base de la médecine : « mieux vaut prévenir que guérir ». Il lui préfère de toute évidence le principe suivant : « mieux vaut s’enrichir que s’appauvrir» !
Et c’est ainsi que depuis des décennies, nous polluons sans relâche notre environnement, notre atmosphère et notre eau, à raison de 300 millions de tonnes de produits toxiques déversés tous les ans [11], avec toutes les conséquences que cela représente pour la biosphère terrestre.
La vallée du Doubs – photo prise le 17/08/2011 – en amont du village frontalier de Goumois
De la même façon, il va nous falloir demeurer extrêmement vigilants afin que de très vieux « Projets déments ! » que l’on croyait définitivement morts et enterrés, ne puissent plus jamais refaire surface et menacer une nouvelle fois l’intégrité de la biodiversité locale…
Rhinocéros blanc (Ceratotherium simum) – photo prise le 25/08/2015 – Parc zoologique du Lunaret de Montpellier, situé au coeur de l’espace naturel magnifique de La Valette [2] [3]
Rq. le rhinocéros blanc est une espèce menacée inscrite sur la Liste rouge de l’UICN [4] ainsi qu’à l’Annexe I de la convention CITES [5] et fait l’objet d’un programme EPP [6]…
Concernant les rhinocéros enfin, comment se fait-il que l’ensemble des espèces ne soit pas traité de la même manière, c’est à dire à l’Annexe I de la convention CITES ? A l’Annexe II, on peut lire en effet, je cite ci-dessous les termes utilisés par le Secrétariat CITES [5] :
« Ceratotherium simum simum (Seulement les populations d’Afrique du Sud et du Swaziland; toutes les autres populations sont inscrites à l’Annexe I. À seule fin de permettre le commerce international d’animaux vivants vers des destinataires appropriés et acceptables, et de trophées de chasse. Tous les autres spécimens sont considérés comme des spécimens d’espèces inscrites à l’Annexe I et leur commerce est réglementé en conséquence) »
Il serait donc temps que 2015 puisse devenir, au delà des enjeux qui vont se jouer lors de la COP21, l’année de l’éveil collectif, afin que des espèces telles que les rhinocéros ne puissent plus jamais être menacées, que ce soit pour la kératine de leurs cornes [24], ou bien encore pour leurs têtes. Ensuite, il nous restera beaucoup de chemin juridique à parcourir afin de pouvoir garantir la sauvegarde sans équivoque de l’ensemble de la biosphère terrestre ; les Conférences des Parties conduisant à une révision de la convention CITES étant organisées en moyenne tous les trois ans…
Aussi, dans l’intervalle, ne serait-il pas temps pour l’Humanité de commencer par TOUT STOPPER, puis d’ouvrir les yeux sur des photographies plutôt que des trophées ?
***
[1] Victor Hugo, Discours à l’Assemblée nationale (1848-1871), Séance du 11/11/1848 :
http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/victor_hugo/discours_fichiers/seance_11novembre1848.asp
[2] Parc zoologique de Montpellier, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 20/08/2015 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_zoologique_de_Montpellier
[3] Parc zoologique de Montpellier, site officiel :
[4] La Liste rouge mondiale des espèces menacées, UICN, 2015-3 :
http://www.uicn.fr/la-liste-rouge-des-especes.html
[5] Annexe I, II et III de la convention CITES, Secrétariat CITES, 05/02/2015 :
https://www.cites.org/fra/app/appendices.php
[6] Programme européen pour les espèces menacées, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 08/08/2013 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_europ%C3%A9en_pour_les_esp%C3%A8ces_menac%C3%A9es
[7] Cecil (lion), Wikipédia, L’encyclopédie libre, 15/09/2015 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cecil_(lion)
[8] Les populations d’animaux marins ont diminué « de 49% entre 1970 et 2012 », Le Monde avec AFP, 16/09/2015 :
[9] WWF. 2015. Living Blue Planet Report. Species, habitats and human well-being. [Tanzer, J., Phua, C., Lawrence, A., Gonzales, A., Roxburgh, T. and P. Gamblin (Eds)]. WWF, Gland, Switzerland :
http://awsassets.wwfffr.panda.org/downloads/lpr2015_marine_final_reduit.pdf
[10] http://www.pauljorion.com/blog/2015/04/03/interstellar-nous-montre-la-voie-par-philippe-soubeyrand/
[12] Richard Strauss, Metamorphosen, 1946, Antoni Wit, Conductor, Staatskapelle Weimar :
[13] Seaquarium du Grau-du-Roi, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 10/09/2015 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Seaquarium_du_Grau-du-Roi
[14] Seaquarium du Grau-du-Roi, site officiel :
[15] WWF. 2014. Rapport Planète Vivante ® 2014 : Des hommes, des espèces, des espaces, et des écosystèmes [McLellan, R., Iyengar, L., Jeffries, B. et N. Oerlemans (édit.)]. WWF International, Gland (Suisse) :
http://awsassets.wwfffr.panda.org/downloads/lpr2014_rapport_vf_web.pdf
[16] Espèce envahissante, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 26/08/2015 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Esp%C3%A8ce_envahissante
[17] Audrey Garric, Quel est l’état de la biodiversité ?, Le Monde, 09/10/2012 :
[18] Emmanuel Issoze-Ngondet, Ministre des affaires étrangères du Gabon, Trafic illicite d’espèce sauvage : l’Assemblée générales se mobilise contre le fléau, Nations Unies, 30/07/2015 :
[19] Population mondiale, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 19/09/2015 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Population_mondiale
[20] CPEPESC-FC, site officiel :
http://www.cpepesc.org/index.php
[21] Déclin des populations d’amphibiens, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 08/06/2015 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9clin_des_populations_d%27amphibiens
[23] Butterfly effect, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 22/09/2015 :
https://en.wikipedia.org/wiki/Butterfly_effect
[24] Kératine, Wikipédia, L’encyclopédie libre, 18/08/2015 :
@Mango Cette série est née sous l’impulsion d’impératifs simples et quelque peu baroques que n’auraient pas forcément appréciés les adeptes…