Selon un article du Wall Street Journal, la Grèce a obtenu de très importantes concessions de ses créanciers.
Les exigences de nouveaux licenciements de fonctionnaires ont été retirées. Les exigences relatives aux « réformes structurelles », autrement dit une plus grande facilité offerte aux dirigeants d’entreprise pour licencier leurs employés, ont été retirées ; la Grèce doit simplement promettre d’examiner à l’avenir la question des conventions collectives et des plans sociaux.
Par ailleurs, et c’est essentiel, les exigences en termes d’excédent primaire de la nation ont été considérablement abaissées. Il faut savoir que plus l’exigence est élevée, plus le gouvernement doit réduire les dépenses de l’État. Les exigences initiales étaient de 3% en 2015 et 4,5% à partir de 2016 ; les nouvelles exigences de la Troïka sont de 1% en 2015, 2% en 2016, 3% en 2017 et de 3,5% en 2018. Une différence absolument majeure !
Mais comme je le dis en titre : surtout n’en parlez pas, il ne faut surtout pas que la Troïka ait l’air d’être en train de perdre la face (parce que ça nous chagrinerait tous) !
Moi non plus. C’est une vision anglaise. « L’idée tordue de la paix de Trump – céder un quart du territoire…