Durant les Trente Glorieuses, tout le monde était heureux !

Comme je travaille en ce moment sur le moyen ou le long terme, je veux dire à préparer des chroniques ou des interventions dans les jours qui viennent (comme vous pouvez le voir : à Namur, Bruxelles ou Liège, sans compter une autre à Saint-Denis, que j’annoncerai dès que les informations seront en ligne), et que le climat général est celui que les Américains appellent « waiting for the other shoe to drop », à savoir qu’une catastrophe est sur le point d’avoir lieu sans qu’on sache exactement laquelle ni quand, si ce n’est que c’est très bientôt, je suis parti à la recherche d’une vidéo pour nous donner le moral.

Quoi de mieux que Dion di Mucci en octobre 1961, une année où les enfants des écoles apprenaient à se cacher sous leur banc dès qu’ils apercevraient l’éclair blanc d’une explosion thermo-nucléaire ?

La crise des missiles de Cuba, le passage à un millimètre de la Troisième guerre mondiale, ce serait exactement un an plus tard : en octobre 1962.

Mais rassurez-vous : ce n’est sans doute que partie remise, l’Homme est encore très très loin de tirer les leçons de l’histoire !

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  1. Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.

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