Pendant ce temps-là, sur mon propre blog, un commentateur écrit :
Ce que j’ai essayé d’exprimer, c’est que la spéculation au sens général du terme fait partie de l’être humain, qu’elle est bénéfique mais comme tout mécanisme puissant, il faut des systèmes de contrôle et de sécurité pour empêcher les dérives et accidents.
Moi :
Il faudra un jour faire le calcul exact [du coût de la spéculation], je dirais moi au pifomètre que cela représente 40 % du total, mais si le chiffre réel dépassait les 50%, je ne serais pas exagérément surpris. Vous imaginez l’économie que représenterait une interdiction ? Vous imaginez aussi du coup le peu d’intérêt de simplement séparer les activités de spéculation des autres (le coût global reste le même), ou d’interdire certains instruments financiers (je vous reconstruis en un quart d’heure le même instrument sous forme « synthétique » à partir d’instruments toujours autorisés) ?
Bonjour Régis, il y a du vrai dans v/com. et à son sujet, j’avais écrit, il y a quelques temps,…